Victoria Beckham, reine de la mode et femme du célèbre footballeur David Beckham, a créé une vive polémique cette semaine.
Suite à la crise sanitaire actuelle, la styliste a eu recours au chômage partiel pour une partie de ses employés. Sauf que celle-ci est accusée d’avoir profité du système.
Victoria Beckham fait scandale outre-Manche
Le magazine Forbes a révélé que Victoria Beckham avait mis 30 de ses employés au chômage partiel suite à la crise.
Les salariés en question ont reçu une lettre les informant qu’ils toucheraient 80% de leur salaire grâce au gouvernement britannique qui a mis en place un plan d’accompagnement des entreprises pendant l’épidémie de coronavirus.La marque de luxe promet de payer les 20% restant.styliste toucherait 75 000 livres (soit environ 85 000 euros) d’aide de l’État.
En procédant ainsi, laCette façon de faire a fait scandale outre-Manche, d’autant plus que la fortune des Beckham est estimée à 380 millions d’euros et que le couple vient tout juste de s’offrir un magnifique appartement à Miami pour 20 millions d’euros.
Les internautes n’ont pas mâché leurs mots à l’encontre des Beckham : «C’est ce qui arrive quand on a beaucoup d’argent, on fait tout pour le garder», ou encore «C’est une multimillionnaire qui en est arrivée là grâce aux taxes que paient ses loyaux fans» sont quelques-unes des critiques que l’on peut lire.
Victoria Beckham ne s’est pas exprimée sur la polémique
Oliver Dowden, Secrétaire d’État anglais au Numérique, à la Culture, aux Médias et au Sport, s’est livré sur cette polémique : «Chaque entreprise doit se demander si elle a vraiment besoin de recourir à l’argent des contribuables». Il a également précisé que ce dispositif était réservé «aux entreprises qui seraient contraintes de licencier leurs salariés».
La styliste Victoria Beckham n’a pas souhaité s’exprimer sur cette polémique. En revanche, une de ses amies aurait raconté que l’ancienne Spice Girls trouverait «injuste de se faire bâcher ainsi pour quelque chose que de nombreuses entreprises font actuellement».
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