Valérie Trierweiler a été licenciée de Paris Match « où elle travaillait depuis 30 ans ».
La journaliste et ancienne Première dame a fait part de la nouvelle sur Twitter où elle indique qu’elle l’a appris « pendant ses congés de façon extrêmement brutale » et qu’il s’agit d’un « licenciement sans motif valable ».
Valérie Trierweiler a été licenciée de Paris Match
Valérie Trierweiler écrivait des articles pour la rubrique culture du magazine Paris Match mais désormais son nom n’apparaîtra plus dans l’hebdomadaire puisqu’elle vient d’être licenciée. Mercredi 12 août, le licenciement de la journaliste avait été révélé par La Lettre de l’audiovisuel avant que l’ancienne Première dame ne confirme l’information sur son compte Twitter ce jeudi.
« J’ai appris en plein coeur de l’été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans », a tweeté Valérie Trierweiler qui travaillait pour l’hebdomadaire depuis 1989.
« Ce licenciement sans motif valable me laisse en état de choc et de sidération », ajoute celle qui était au départ une spécialiste politique avant de devoir changer lorsque son compagnon François Hollande est devenu président de la République en 2012.
j’ai appris en plein cœur de l’été et pendant mes congés de façon extrêmement brutale mon licenciement de Paris Match où je travaillais depuis trente ans. Ce licenciement sans aucun motif valable me laisse en état de choc et de sidération. #parismatch
ADVERTISEMENT — Valerie Trierweiler (@valtrier) August 13, 2020
Le journal Le Parisien indique que Valérie Trierweiler « ne sera pas la seule partante » de Paris Match.
En effet, l’hebdomadaire ainsi que d’autres journaux et magazines ont été touchés par la crise sanitaire. En raison des coupures dans les budgets publicitaires, « notamment celles pour les produits de luxe ou le tourisme », Paris Match se voit contraint de procéder à « une restructuration de sa rédaction ».
Pour le moment, le magazine n’a pas commenté la nouvelle.
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