Une mannequin végétalienne de 48 ans attribue sa beauté à son style de vie sans produits animaux.
Elle affirme que sa belle apparence lui vaut parfois d’être confondu avec une fille de 20 ans.
Comme l’a dit Victoria Featherstone Pierce, qui est mannequin et qui gère sa propre organisation caritative, elle est végétarienne depuis l’âge de six ans. Mais après avoir vu la vérité derrière l’industrie laitière, elle est devenue végétalienne.
Aujourd’hui, cette femme de 48 ans est souvent confondue avec une femme de 20 ans. Comme elle le prétend, les adolescents s’approchent souvent d’elle et tentent de la draguer en pensant qu’elle a leur âge.
« Je suis végétarienne depuis l’âge de six ans et je suis devenue végétalienne du jour au lendemain lorsque j’ai appris à 33 ans le côté sombre de l’industrie laitière. Je crois que cela a amélioré mon apparence, car je me sens en meilleure santé et mieux qu’à l’âge de 20 ans », a admis Victoria.
« Je n’utilise que des crèmes et des produits de beauté non testé sur des animaux et je n’ai jamais eu recours au Botox. Je n’ai pas honte de dire que je me sens bien et que je suis belle – je veux continuer à me déhancher et à être sexy jusqu’à l’âge de 90 ans ! »
« Dans l’industrie du mannequinat, j’ai eu des expériences où nous avons parlé au téléphone et où je n’ai pas été prise à cause de mon âge.
Les gens entendent que j’ai 48 ans et une image déformée apparaît dans leur esprit. Je crois que les modèles matures ont beaucoup plus à offrir et je ne veux pas être juste un numéro ».
Le modèle s’est également ouvert à ses problèmes de santé mentale et a dit qu’elle travaille comme défenseur du mode de vie végétalien.
« Le tournage du calendrier était stimulant, et je voulais prouver que je ne suis pas juste un numéro. Je suis déprimée depuis longtemps parce que j’ai découvert que mon père n’était pas mon vrai père à 21 ans », a ajouté Victoria après sa récente séance de photos.
« La dépression n’a pas de visage ; la plupart des gens sont choqués quand ils entendent que je suis en dépression. Mes sentiments à l’intérieur ne correspondent pas à ceux de l’extérieur, mais je dois me battre quotidiennement pour me sentir en vie. »
« Il y a eu des moments où j’ai envisagé le suicide, mais j’ai trouvé ma raison de vivre en aidant les chiens. »
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