La militante LGBT transgenre Jessica Yaniv a déposé plus de 15 plaintes contre des esthéticiennes qui ne veulent pas épiler son sexe.
Il a affirmé que les esthéticiennes discriminaient sur la base de « l’identité de genre ». Yaniv veut maintenant demander une restitution financière.
L’une des femmes a été forcée de fermer sa petite entreprise à cause de la plainte de Yaniv.
Alors que les libéraux, les féministes et les conservateurs ont critiqué la tentative du militant trans pour forcer les femmes à l’épiler , Yaniv a fait la une des journaux vantant ses actes.
Il a récemment rejoint le radiodiffuseur irlandais Niall Boylan pour parler des plaintes déposées. Mais lorsque l’animateur a demandé pourquoi les droits de la esthéticienne étaient bafoués par les siens, l’activiste a raccroché au milieu de l’entretien.
« Je respecte le fait que vous croyiez en Dieu. Et je respecte votre point de vue et je respecte votre croyance et votre foi en Dieu. Cela ne signifie pas que je dois croire en Dieu. Comprends-tu » Demanda Boylan.
Yaniv a répondu: « Oui. »
« Certaines personnes peuvent vous respecter et vouloir que vous vouliez s’appeler Jessica, mais elles n’ont pas besoin de vous suivre partout », a déclaré l’animateur. « Je vous appellerai Jessica, je vous respecterai cela, mais je n’ai pas besoin d’adhéré à tout. »
« Vous demandez essentiellement à ces femmes de vous rendre un service auquel elles ne croient pas », a poursuivi Boylan. « Elles ne veulent pas s’occuper des organes génitaux d’un homme. Est-ce juste? »
« Je suis protégé par le code des droits de la personne de la Colombie-Britannique », a répondu Yaniv.
« Et ces femmes sont protégées, et ont le droit de dire non », a interpellé l’animatrice.
« Elles ne le sont pas », a déclaré Yaniv. « Parce que, essentiellement … » Boylan lui demanda alors: « Pourquoi tes droits l’emportent sur les leurs? »
L’activiste a déclaré que le Tribunal « est en train de parvenir à un équilibre pour voir comment les droits se concrétisent dans tout cela ».
Boylan lui a dit que c’était sa préoccupation: Yaniv devrait pouvoir vivre sa vie librement, de même que les esthéticiennes.
« Pas lorsqu’ils discriminent les droits d’autrui », a discuté Yaniv.
« Elles diront qu’elles ne font pas de discrimination. Elles disent: « Je suis désolé, nous ne fournissons pas ce service… de l’épilation des organes génitaux d’un homme », a déclaré Boylan. « Et c’est ce qu’elles disent; qu’elles ne devraient pas être obligés de faire cela. »
Yaniv a ensuite raccroché au milieu de l’interview.
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