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Une femme, qui est obligée de porter une poche de stomie, participe à des compétitions de MMA


Une femme de 41 ans, qui est obligée de porter une poche de stomie, s’entraîne et participe à des compétitions en tant que combattante du MMA.

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Kharina Kharran, de Brighton, en Angleterre, a reçu un diagnostic de la maladie de Crohn lorsqu’elle était adolescente.

Regardez la femme qui s’entraîne et qui participe à des compétitions ▼

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En raison de son état, des trous se sont formés dans son intestin et son rectum. Elle avait besoin de douzaines d’opérations et après l’une de ses opérations, elle a été incapable de s’asseoir pendant plus d’un an.

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«Pendant un an et demi, je devais rester debout pendant que je travaillais. Je ne pouvais pas m’asseoir », a déclaré Kharran.

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Kharran, qui aimait les films de Bruce Lee quand elle était jeune, a commencé sa formation pour devenir une combattante du MMA à l’âge de 16 ans.

Kharran, qui porte un sac de stomie, est maintenant un expert du kung fu, du jujitsu brésilien, du muay thaï, du jeet kune do et de la boxe.

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Elle dit à propos de son sac de stomie: « Si j’attire l’attention sur ce sac, certaines personnes voudront peut-être être agressives. Je me positionne pour que ma faiblesse ne soit pas évidente même si ça demande beaucoup de pratique. »

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«Si je suis au sol en position d’abaissement, c’est une position dangereuse et vulnérable pour mon ventre, donc je bouge et me repositionne toujours.»

Kharran est forme olympique malgré 38 interventions chirurgicales sur l’intestin et s’entraîne désormais dans un gymnase d’arts martiaux six fois par semaine.

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Elle participe également à des compétitions de MMA et en est sortie victorieuse lors de son dernier combat.

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Elle a déclaré: « Ma plus grande réalisation a été d’entrer dans la cage. J’étais vulnérable à 100%. Je m’entraînais six jours par semaine mais cinq jours avant l’événement, je ne pouvais pas m’entraîner car je ne me sentais pas bien. »

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«Je devais m’assurer que j’avais fait tout ce que je pouvais – et juste en entrant dans la cage, je me sentais déjà gagnante. C’était assez phénoménal. C’était justement cet accomplissement qui a valu sur toutes les souffrances que j’ai vécues. »

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