Ce modèle de grande taille a subi TROIS lifting de fessier « brésilien » afin d’obtenir le « plus gros cul du monde ».
Natasha Crown, 25 ans, a gagné 1,5 kg avant sa deuxième opération en avalant pizza après pizza et six kilos de Nutella par mois pour avoir plus de graisse corporelle à injecter dans son énorme derrière.
« Je pense que plus c’est grand, mieux c’est. Je ne serai plus jamais mince. Mon derrière est comme une autre dimension « , dit-elle.
« J’ai cassé des chaises avec mon derrière, et cassé des lits, j’ai cassé des gens. J’ai toujours été différente et en Suède, les femmes pensent que mince c’est plus beau. Mais je pense que les gens ont besoin de voir à quoi devraient ressembler les vraies femmes ».
Elle a ajouté :
« Après ma première opération, j’étais si heureuse. Six mois plus tard, je lui ai dit qu’il avait fait un excellent travail, mais que je voulais en avoir plus et qu’il était comme ‘OK » ».
Nous avons planifié la deuxième opération. Je savais que plus j’avais de graisse, plus j’allais être grosse. J’ai donc décidé de prendre beaucoup de poids.
J’adore manger, j’ai pris 20kgs et ensuite j’ai fait la deuxième opération.
Natasha, qui a quitté la Serbie pour la Suède à l’âge de 10 ans, a continué :
« Au cours des quatre dernières années, j’ai eu trois liftings de fesses brésiliens, une augmentation mammaire, puis j’ai fait quelques remplissages dans le menton, les lèvres et les pommettes.
Ce n’est pas de la chirurgie, ça vient compléter mon look. Les gens sont venus me voir et m’ont demandé si j’étais un mannequin grande taille. J’ai donc pensé’OK, je vais le faire ».
En ce moment, je fais de l’exercice trois à quatre fois par semaine. Tout le monde veut faire une taille 0 et moi une taille 50.
Elle peut se vanter d’avoir 318 000 fidèles sur Instagram.
« J’ai une consultation pour voir s’ils peuvent réparer mes seins parce qu’ils sont vraiment affaissés maintenant. Je veux les soulever et les agrandir « , a-t-elle ajouté.
« Mon but est d’avoir le plus grand cul du monde et rien ne m’arrêtera ».
Continue, Natasha. Tant que vous ne vous faites pas de mal, faites-le !