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    Categories: Famille

Un policier de l’Ohio a été licencié pour s’être arrêté et avoir détenu le petit ami de sa fille sans aucune raison


La caméra de bord était montée juste en dessous du toit de la voiture de police.

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La vidéo montre le policier menaçant le petit ami de sa fille sous de fausses accusations.

Le 18 avril, un bureau de Lorain nommé John Kovach Jr. a intercepté le petit ami de sa fille, Makai Coleman, sans aucune raison et lui a dit qu’il « allait le mettre en prison ». Pendant ce temps, sa fille Katlyn Kovach âgée de 18 ans, était assise à l’arrière de la voiture de Coleman.

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Crédit vidéo: Lorain Police Department

Quand Coleman demande à Kovach pourquoi il doit aller en prison, il répond: ‘Assieds-toi dans ma voiture. Et fer**-la en y allant’. La caméra de bord de Kovach à enregistrer l’échange complet.

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L’officier commence à parler avec Gloria Morales, qui est sortie de chez elle parce que deux de ses enfants sont également dans la voiture de Coleman.

L’officier dit à Morales que l’ordinateur de sa fille est chez elle et qu’il veut fouiller sa maison.

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Morales accepte, mais l’officier la menace en lui disant qu’il va donner à sa fille, qui se trouvait également dans la voiture de Coleman, une amende de 265€ pour ne pas porter sa ceinture de sécurité.

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La mère lui dit alors d’aller chercher un mandat s’il veut venir vérifier sa maison.

Il libère ensuite le petit ami de sa fille de sa voiture de patrouille, puis pousse sa propre fille sur le siège arrière de la voiture du policier.

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Katlyn commence à lui crier: « Pourquoi! Pourquoi est-ce que tu me pousse, put**! Pourquoi! »

Elle se met à pleurer et dit: « Tu ne peux pas m’arrêter sans raison », puis son petit ami se confronte à son père et lui dit: « Pourquoi vous la mettez dans la voiture, elle n’a rien fait ».

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L’officier dit que sa fille était suicidaire vendredi dernier.

Elle dit: « Je ne l’étais pas »

Coleman dit: « Je ne la protège pas, elle a 18 ans, elle peut faire ce qu’elle veut. »

Kovach dit à Coleman: « Elle va à l’hôpital parce qu’elle a dit qu’elle allait se tuer vendredi ».

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Son petit ami demande: « Avez-vous une preuve de cela? Un texto? »

Ensuite, l’officier s’en va avec sa fille, objectant qu’elle n’a jamais prétendu être suicidaire.

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Selon une enquête interne menée le 11 mai par le département de police de Lorain, le père de Katlyn a déclaré croire que sa fille allait se tuer parce que son ex-femme l’avait averti qu’elle et Coleman avaient des relations sexuelles à son domicile.

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Plus tard, quand il a téléphoné à sa fille, elle a dit à son père: « Si je ne peux pas être avec lui, je ne veux plus être ici », ce qu’il a considéré comme une menace suicidaire.

Les rapports de l’enquêteur allèguent également que Coleman et sa mère avaient déclaré aux enquêteurs que l’officier l’avait appelé, le menaçant de lancer des mandats contre lui et qu’il irait voir son recruteur de l’armée pour mettre fin à l’engagement de Coleman.

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Le 18 avril, Kovach a ignoré un appel concernant un incident de rage au volant. Il a utilisé des sources policières pour tracer l’ordinateur de sa fille grâce à son adresse IP.

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L’agent a déclaré aux enquêteurs qu’il pensait que Coleman n’était pas une « bonne personne » puisqu’il avait été arrêté pour possession de marijuana et que sa fille restait avec Coleman malgré l’objection de ses parents.

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Un mémo interoffice a déclaré: « Comme le chef de police ne peut sanctionner le personnel que par suspension de trois jours au maximum, le comité est fermement convaincu que l’affaire devrait être transférée au niveau du directeur du service de sécurité pour qu’il prenne des mesures disciplinaires. »

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« Cela est dû à la nature très grave des violations, qui peuvent aller jusqu’à un niveau de faute grave, placent le Département de la police dans une situation de responsabilité et pourraient entraîner des mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement. »

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Kovach a été renvoyé le 11 mai. Il fait appel avec l’aide de l’Ordre Fraternel de la Police n°3.

« Vidéo recommandée – Un policier empêche un petit garçon de s’étouffer en le frappant dans le dos pour faire sortir une « pièce de monnaie » de sa gorge. »

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