Un policier a démissionné de son emploi après avoir été accusé d’avoir utilisé la base de données de la police pour traquer des femmes qu’il pourrait éventuellement fréquenter.
L’ancien officier Leonel Marines, qui a servi au sein de la police pendant 12 ans, a été accusé d’avoir obtenu des informations privées de la base de données de la police pour trouver des femmes avec qui il pourrait sortir.
Le policier a également été accusé d’avoir contacté des femmes au téléphone, sur les réseaux sociaux et de leur avoir rendu visite à leur domicile sous prétexte d’affaires policières.
L’accusé aurait abusé de son pouvoir pour atteindre plus de 150 personnes, le plus souvent des femmes hispaniques.
Selon le chef de la police, Melanie Bevan, M.Marines utilisaient la base de données de la police depuis des années. Toutefois, ses actions ont d’abord été sous les feux des projecteurs en juin de l’année dernière après que l’agent ait suivi une femme à son domicile après une rencontre dans un parking.
Apparemment, Leonel Marines a frappé à sa porte et a demandé à lui parler d’une « affaire domestique ».point 212 |
Mais heureusement, les parents de la femme ont refusé de laisser M.point 57 | Marines entrer chez eux et ont appelé la police pour signaler l’activité suspecte de l’officier.point 153 | L’agent dépravé s’est alors enfui rapidement sans donner ses informations aux parents.point 242 | 1
Très vite, la police a ouvert une enquête et a découvert une « tendance très, très nette de Leonel Marines à se concentrer sur les noms féminins par rapport aux noms masculins ».
Alors que M. Marines a d’abord été affecté à des tâches de bureau, le ministère l’a mis en congé administratif sans solde et lui a retiré son uniforme, son arme et son insigne après avoir découvert ce qu’il avait fait.
« Bien que l’affaire administrative soit terminée, il s’agit toujours d’une enquête criminelle très active et très ouverte qui est menée par le FBI. Il va sans dire que ce n’est pas ce que nos agents devraient faire avec leur accès à l’information ou leur temps », a expliqué Mme Bevan.
« C’est vraiment une situation troublante pour moi en tant que chef », a dit Melanie Bevan, ajoutant qu’elle a personnellement parlé à certaines des femmes qu’il a harcelées dans le but de « regagner leur confiance dans le service de police ».
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