William David Bennett, 66 ans, est décédé deux jours après avoir contracté une bactérie mangeuse de chair en Floride.
William et son épouse Judy ont voyagé en Floride pour rendre visite à leur fille, Cheryl.
L’incident s’est produit quelques jours seulement après qu’une fillette de 12 ans ait survécu de justesse à une fasciite nécrosante après avoir été la Floride.
Même si Bennett n’avait pas de plaies ouvertes, il a été hospitalisé le lendemain avec des douleurs atroces aux jambes, de la fièvre, des frissons et un énorme point douloureux sur son dos.
Les médecins lui ont prescrit des antibiotiques, mais au bout de quelques heures, il a fait une septicémie et, deux jours plus tard, il est décédé.
D’autres tests ont révélé qu’il avait contracté un vibrio vulnificus, un type de bactérie se développant dans l’eau de mer et les mollusques insuffisamment cuits.
Cheryl veut maintenant partager l’histoire de son père pour avertir les gens qui prennent des vacances en Floride où les bactéries dangereuses sont actuellement courantes.
Elle a expliqué sur Facebook : « Quand mes parents sont arrivés en ville, j’étais fanatique de la néosporine et du sparadrap liquide. »
« Mon père n’avait pas de blessures ouvertes. Il avait quelques endroits qui étaient pratiquement guéris et de petites égratignures sur ses bras et ses jambes. J’ai fait en sorte qu’ils soient super scellés. Ma mère lui a mis religieusement de la crème solaire. On prenait toutes les précautions alors on pensait que tout irait bien. On s’est éclaté. »
Elle a dit que son père adorait l’eau. Mais après une journée à faire du jet-ski, à prendre un bateau et à profiter de l’eau, Bennett s’est réveillé le lendemain avec une fièvre et une douleur atroce dans les jambes.
Ils sont immédiatement allés à l’hôpital où les médecins ont vu une tache noire sur son dos. Le personnel soupçonnait une fasciite nécrosante et lui ont prescrit des antibiotiques. Mais après quelques heures, d’autres taches sont apparues et son cœur s’est arrêté deux fois. Le lendemain, Bennett est décédé.
« Je n’aurais jamais emmené mon père dans l’eau s’il y avait eu un avis de bactérie », ajoute Cheryl.
« Je me rends compte qu’il peut encore y avoir des bactéries sans avis. »
Elle a continué : « Je savais qu’il ne fallait pas nager avec une blessure ouverte, mais je ne savais pas qu’il ne devait pas être dans l’eau avec son système immunitaire fragile. J’ai l’impression que j’aurais dû le savoir et c’est quelque chose qui va me suivre pour le reste de ma vie. »
« Si j’avais fait plus de recherches, je l’aurais certainement su… »
« Je ne veux pas que ça arrive à quelqu’un d’autre. Je n’ai besoin de personne pour me dire ce qu’on aurait dû faire ou pas. Nous le savons déjà. C’était trop tard pour nous. »
« S’il vous plaît, faites passer ce message pour que ça puisse aider quelqu’un d’autre. »
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