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Un père de 38 ans s’est suicidé après un jugement lui interdisant de voir sa fille


Daniel Donnelly, 38 ans, s’est suicidé après que le tribunal lui ait interdit de voir sa fille.

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Le père a été trouvé sans vie chez lui, 20 jours après que le tribunal lui ait interdit de voir son enfant.

Le tribunal a appris que Donnelly avait « vécu le week-end en voyant sa fille » et qu’il était devenu abstinent après avoir lutté contre sa dépendance à la drogue.

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Son ami a dit au Sun que la décision de la cour l’avait « submergé ».

Le père dévasté a laissé des notes de suicide à son appartement où il vivait seul.

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La sœur de Donnelly a dit à l’enquête qu’elle était persuadée que l’interdiction avait entraîné sa mort. « Danny n’avait aucun problème de santé mentale. C’était un homme très heureux et il retombait toujours sur ses pieds. »

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« Il riait et plaisantait tout le temps et faisait n’importe quoi pour sa famille. Il vivait pour sa fille. Tout ce qu’il a pu faire de mal dans le passé était dû à la prise de drogue. »

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« Il idolâtrait sa fille. Elle était sa vie », dit un ami. « Mais il a dit qu’il avait des problèmes avec son ex et que ça passait par les tribunaux. »

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« Il travaillait pour voir sa fille le week-end. Il a juste vécu sa vie pour sa fille. »

« Je lui ai envoyé un message le jour où il s’est suicidé pour voir comment il allait. J’ai appris la nouvelle quelques jours plus tard. Je pense que cette affaire judiciaire l’a pris par surprise. Chaque fois qu’il parlait du tribunal, il avait l’habitude de se rabaisser et de se sentir mal. »

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L’enquête a appris que Donnelly avait consommé du cannabis, de la cocaïne et bu six bières avant son décès. Rosemary Baxter, enquêtrice sur l’affaire a dit : « L’examen post-mortem du Dr Paul Cooke a révélé que Danny avait pris de la cocaïne, ce qui peut avoir ajouté au désir de se suicider. »

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« Des notes de suicide ont été trouvées à son appartement et le tribunal lui a refusé le contact avec sa fille peu avant sa mort, ce qui l’a profondément bouleversé. »

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« J’en conclus aussi que c’était un acte préétabli. »

 

 

 

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