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Un homme vit avec deux gros grizzlis qu’il a adoptés quand ils étaient bébés


Regardez cet homme jouer avec ses deux gros grizzlis qu’il a adoptés petits!

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Un dresseur d’ours qui vit avec deux gros grizzlis parle de son passe-temps inhabituel et révèle comment il gère ses gros mammifères.

Jeff Watson qui habite à Paoli dans l’Indiana aux États-Unis, a consacré tout son temps à travailler comme dresseur d’ours au cours des 30 dernières années.

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Barcroft Media

«Quand on a des ours, il n’y a pas de vacances. Ce sont des animaux sauvages et ils font la loi», a-t-il déclaré dans une interview accordée à BTV.

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«Je m’intéresse aux ours depuis mon enfance, et je n’avais jamais pensé en avoir un. Il y a trente ans, je suis tombé malade. J’avais une maladie neurologique et j’étais paralysé très jeune. Mais lorsque je me suis remit, j’ai eu la chance d’avoir un ours.»

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Barcroft Media

«Je me suis dit: « Tu sais quoi? Cela pourrait être ma thérapie. Je vais passer du temps avec lui dans les bois », et c’est comme ça que tout a commencé.»

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«J’ai commencé avec un ours nommé Brody. Il prenait neuf bouteilles de deux litres de lait de veau à la fois. Il faisait 4kg au début. À un an, il pesait déjà 180 kg et à un an et demi, il faisait 250 kg. Je l’ai donc nourri au biberon pendant trois ans.»

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«Lorsqu’on élève un ours, on devient sa mère de substitution. Il ne vous quittera pas car les ours sont anxieux lorsqu’ils sont séparés de leur parent. Ils ressemblent beaucoup aux êtres humains, surtout quand ils sont jeunes. Ils vous voient comme leur mère.»

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Animal Planet – YouTube

Bien que Jeff ait noué des liens étroits avec les deux ours dont il s’occupe, il a admis que ce ne sont pas des animaux domestiques, mais bien des animaux sauvages.

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«J’ai toujours été réticent à dire aux gens que ce sont des animaux domestiques parce qu’ils ne répondent pas à la définition traditionnelle d’animal domestique. La plupart des gens n’ont pas d’animaux domestiques qui peuvent les tuer. Ces animaux sont sauvages, ce sont des carnivores au sommet de la chaîne alimentaire – et ils font la loi», a-t-il ajouté.

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«Je me souviens très bien de la première fois où j’ai compris qu’un ours n’était pas un chien.point 100 | C’était un ourson de 27kg.point 129 | Cela peut paraître idiot, mais la plupart des gens pensent que s’ils prennent un animal sauvage, qu’ils l’aiment et qu’ils le traitent comme il se doit, ils le feront renoncer à leur instinct naturel – mais cela ne se produira jamais.point 339 |

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Vous ne pourrez jamais apprivoiser un ours.point 37 | Vous pouvez en dresser un mais vous ne pourrez jamais l’apprivoiser.point 101 | »point 103 | 1

Barcroft Media

Jeff a déclaré au sujet de ses deux ours:

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«Ce sont deux frères âgé d’environ sept ans qui viennent d’un parc en Géorgie. C’était une attraction touristique, et elle a fermé ses portes. Avant de fermer, un de mes amis m’a appelé et m’a dit: « Hé, ils ont quelques oursons qu’ils ne veulent pas »».

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«Je ne les ai pas acheté, ils me les ont donné. Les gens me demandent si je les ai sauvés et je leur répond que c’est un mot un peu exagéré. Je les ai pris, je les ai élevés, je les ai aimés et j’ai essayé de leur donner la meilleure vie possible en tant qu’ours captif – qui sait ce que leur sort aurait été.»

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Barcroft Media

Bien que Jeff fasse ce qu’il pense être le mieux pour ses animaux. Il a admis qu’il ne pourrait jamais recourir au «traitement par la douleur» pour que les ours le voient comme leur maître.

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«Mes ours sont bien traités et protégés. Mais nous avons identifié que si vous ne mettez pas en œuvre ce genre de traitement défavorable, vous ne pourrez pas les faire craindre les humains. Je les aime, mais je les surveille. Je m’assure de garder mon esprit là où il doit être», a-t-il déclaré.

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Quelles sont vos pensées sur ce lien inhabituel? Faites-nous savoir dans les commentaires et n’oubliez pas de partager ce post avec votre famille et vos amis. Et suivez-nous sur Facebook pour plus d’histoires!