Enfin séparée de son bourreau, cette femme explique les violences que lui infligeait son mari…
Un homme violent a obligé sa femme à se faire tatouer 9 fois son nom sur le corps
Nicola Frost, une résidente de Northampton, en Angleterre, a vécu un enfer à cause de sa relation ultra-toxique et violente avec son ex-petit ami, Aaron James Wharton.
En effet, ce dernier voulait contrôler la vie de sa conjointe, c’est donc sans scrupules qu’il l’a frappé, étranglé et même menacé avec une arme.
Par exemple, elle devait avoir son autorisation pour sortir, même si c’était pour aller au supermarché.Le plus horrible étant qu’Aaron James Wharton l’a obligé sa petite-amie à se faire tatouer son nom sur le corps car il l’a décrivait comme « sa propriété »…
Mais le vent a tourné et aujourd’hui, cet homme violent a été condamné à 21 mois de prison après avoir été reconnu coupable de coups et blessures, de quoi soulager Nicola Frost, qui s’était retrouvée piégé dans une spirale infernale…
Cette dernière a confié: « Il y a eu des abus émotionnels et tous les types d’abus.
Il contrôlait tous les aspects de ma vie. Même si j’allais simplement au magasin, je devais demander la permission et je devais prendre une photo de moi-même et de ce que je portais.Toutes les années que j’ai passées avec lui, il m’a coupé de ma famille et de mes amis.
Il me frappait plusieurs fois et me marchait au visage assez régulièrement, me frappait et me giflait, et me jetait contre les murs. Il m’a fait un œil au beurre noir et une lèvre fendue à plusieurs reprises, mais j’avais trop peur pour le dire à personne et il savait que je n’avais personne d’autre ».Des tatouages pour mieux la contrôler…
La jeune femme a dû se faire tatouer neuf fois sur le corps « Propriété d’AJ Wharton » et la jeune femme ne savait pas comment faire pour refuser: « Parfois je riais quand il disait quel tatouage il voulait que je me fasse et je recevais une gifle de sa part« .
Pour que cette période sombre ne soit plus qu’un mauvais souvenir, elle a déjà retiré quatre des neuf tatouages mais cela lui coûte très cher.
Elle a aussi peur du jour où son ex-conjoint sortira de prison: « Les gens comme lui ne changent pas.Il sera toujours narcissique ».
J’aimerais faire campagne à ce sujet et sensibiliser les femmes et les hommes du monde entier aux relations abusives.
Maintenant je peux mieux me comprendre et vivre ma vie parce qu’il est en prison ».À lire aussi :