Callum Bigley, 32 ans, risque neuf ans de prison après avoir forcé sa petite amie à écrire une lettre de suicide au cours d’une terrible épreuve de trois jours au cours de laquelle il l’a torturée et séquestrée.
Bigley a fouetté sa partenaire chez elle alors qu’il rejouait des scènes de Jésus avant la crucifixion. Le voyou avait verrouillé toutes les fenêtres et les portes et portait la clé autour du cou.
Selon le procureur Edmund Haygarth, le calvaire de trois jours a commencé au milieu de la nuit lorsqu’il s’est réveillé et s’est mis à chuchoter de manière incohérente.
Sans aucune raison, il a attaqué sa petite amie et lui a fracassé le visage avec un téléphone portable avant de l’assaillir à coups de poings américain.
Toutes ces tortures avaient pour but de faire avouer à sa victime qu’elle l’avait trompé.
Le dernier jour, le voyou l’a forcée à écrire une lettre de suicide et lui a dit qu’elle serait placée sur la cheminée. Il avait prévu d’accrocher la femme et de lui donner l’impression qu’elle s’était suicidée.
La femme avait « véritablement peur que son meurtre ne se réalise », a déclaré M. Haygarth.
Bigley a accusé sa partenaire d’être infidèle, affirmant qu’elle avait flirté avec un autre homme et qu’elle avait « passé en revue les hommes à la télé. ”
Il a également enroulé un câble TV HDMI autour de son cou pour l’empêcher de respirer correctement. Puis il a commencé à la fouetter en disant: » Tu vas être comme Jésus-Christ sur le crucifix . »
La maman de deux enfants a été retrouvée avec deux yeux au beurre noir, plusieurs ecchymoses et bosses et un visage en sang.
Bigley ne cessait de promettre que si elle avouait être infidèle, il la relâcherait. Mais quand elle a «admis», il a continué à abuser d’elle et a attaqué la mère devant son petit enfant.
La femme a réussi à s’enfuir en jetant un aspirateur par la fenêtre du salon. Elle a grimpé dehors et, heureusement, des hommes l’ont repérée et l’ont aidée à s’échapper.
Son tortionnaire s’est enfuit et a été retrouvé six semaines plus tard. Il a été reconnu coupable de séquestration, de coups et de sévices corporels et du fait d’avoir envoyé une «communication malveillante». Bigley a été condamné à 9 ans de prison.
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