Lee Hogben, 35 ans, a été condamné à aller en prison pendant 12 ans après avoir retiré son préservatif lors d’un relation sexuelle avec une prostituée.
Il a ignoré les objections répétées de la femme et a continué à avoir des relations sexuelles non protégées avec elle dans un hôtel 4 étoiles Royal Bath à Dorset.
Hogben a violé les conditions convenues du consentement avec la femme dans la vingtaine, qui a immédiatement signalé l’incident à la police.
Le suspect âgé de 35 ans a été arrêté pour soupçon de viol. Des tests médico-légaux prélevés sur l’escorte ont permis de faire correspondre son ADN à une probabilité d’un sur un milliard.
Il a d’abord nié l’accusation de viol mais a finalement été reconnu coupable à l’issue d’un procès.
Hogben a même menacé de tuer les grands-parents de la plaignante lorsqu’elle s’est plainte. Il a écrit dans un message: «Je vais vous fracasser la tête pour ce que vous m’avez fait et je vais tuer vos grands-parents.»
Il a également menacé de tirer sur le juge après avoir été condamné à faire de la prison pendant 12 ans. Il a déclaré au juge Stephen Climie: «Je viens pour vous. Vous aurez un coup de fusil dans le visage au milieu de la nuit. »
Le tribunal a entendu que la femme annonçait ses services sur un site Web. Elle a indiqué en ligne que tous ses clients doivent utiliser une protection. Hogben l’a contacté, et ils se sont rencontrés à l’hôtel. Ils ont également convenu d’un prix pour deux heures de ses services.
Jodie Mittell, responsable des poursuites, a déclaré: «Hogben est allée au-delà de ce qui avait été consenti en enlevant la protection, ce qui, selon la plaignante, était une condition pour avoir un rapport sexuel.»
«Elle a protesté à plusieurs reprises: ‘Je ne fais pas ça – s’il te plaît, non’. Elle a essayé de se dégager, mais il lui a dit d’arrêter. Il lui a dit qu’il avait battu et volé des gens.»
Il est également parti sans payer la femme malgré deux heures passées à l’hôtel avec elle.
Hogden a été reconnu coupable de viol et de deux chefs de voies de fait contre la victime. Il a plaidé coupable de menace de divulgation de photographies privées, de destruction de biens, de communication malicieuse avec une autre victime et de violation d’une ordonnance restrictive.
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