Reece Oliver, 28 ans, a énervé ses voisins après avoir construit une enceinte sur sa propriété y héberger deux lionceaux africains qu’il a sauvé, Rora et Rocky, ainsi que pour son puma Rogue.
Lorsque le conseil municipal a appris que l’homme gardait des animaux sauvages depuis février chez lui, à Strelley, dans le Nottinghamshire (Angleterre), il a été demandé à Oliver d’obtenir un permis de construire rétrospectif pour les modifications apportées à son domicile afin que les animaux puissent rester.
Depuis lors, les bureaux de la mairie ont reçu 14 objections de la part des voisins, inquiets pour le bruit et la sécurité de leurs animaux domestiques (et sauvages).
Cependant, Oliver a fait valoir que les lionceaux qu’il élevait avaient été sauvés d’un cirque qui opérait en République tchèque et devaient être abattus si aucune mesure immédiate n’avait été prise…
Cela a amené le conseil municipal de Broxtowe à reconsidérer sa décision et a autorisé Oliver à procéder aux ajustements qu’il avait apportés à son terrain malgré les plaintes du voisinage qui demandaient au conseil de rejeter sa demande…
Néanmoins, Oliver a remporté la décision par 7 voix contre 5 hier lors d’une réunion des élus. Oliver, qui a déjà un puma nommé Rogue, a accueilli des lionceaux menacés de mort et les a placés dans un enclos qui se trouve dans son jardin, en plein centre ville.
Oliver, qui est cavalier de métier, dit qu’il est autorisé à garder des animaux sauvages et qu’il a été surpris qu’il ait dû demander une autorisation pour son enclos aux fauves.
14 de ses voisins ont fait appel car ils étaient préoccupés par le bruit et la sécurité des animaux sauvages dans le quartier.
Il a refusé d’abandonner et a prétendu que les lionceaux seraient mis à mort si personne ne les prenait. Oliver a dit que les lionceaux sont comme ses enfants, il les avait depuis qu’ils étaient bébés.
Quand Oliver a convaincu que le conseil que l’enclos qu’il avait construit pour les lionceaux était plus grand que ceux que l’on trouve dans la plupart des zoos, qu’ils avaient beaucoup plus de libertés et qu’ils étaient traités avec amour et respect, le conseil municipal a répondu favorablement à sa demande…
Nous espérons que cela motive Oliver a continuer son travail de protection des animaux sauvages et en voie de disparition.
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