C’est pourtant le principal moyen de contraception…
Selon la répression des fraudes, 50% des préservatifs ne sont pas conformes
Ce lundi, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a publié une enquête concernant les préservatifs. La première constatation montre que 50 % des préservatifs commercialisés en France ne sont pas conformes à la réglementation, cependant, pour la plupart, ils ne présentent pas de risque pour les utilisateurs.
Les principales infractions concernent surtout les obligations faites aux fabricants en matière d’information des consommateurs.point 117 | En effet, sur 14 types de préservatifs contrôlés par la DGCCRF en 2019 plusieurs avaient un étiquetage incomplet ou une notice lacunaire.point 237 |
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a donc adressé trois avertissements et une procédure de retrait/rappel a été déclenchée car une des références avait des perforations…point 209 | 1
Cette nouvelle enquête était principalement destinée aux préservatifs qui n’avaient pas été déclarés conformes en 2018
La DGCCRF a indiqué avoir effectué 71 actions de contrôle dans 34 établissements, les principales marques vendues en France mais elle s’est surtout intéressée aux préservatifs qui n’avaient pas été déclarés conformes après l’enquête menée en 2017-2018.
Il apparaissait à l’époque que 82% des références avaient été déclarées comme non-conforme et ne respectaient pas le règlement. La DGCCRF s’est donc félicitée que cette année, une grande partie des fabricants avaient mis un terme aux non-conformités d’il y a deux ans.
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