Les centres de contrôle et de prévention des maladies ont déclaré que la deuxième cause de décès par cancer en Amérique était le cancer du côlon.
Comme l’indiquent les détails rassemblés par le programme de l’institut national du cancer; Contrôle, Épidémiologie et Résultats Finaux; plus de 50 000 personnes seraient décédées en 2017 d’un cancer du côlon.
Il existe une grande variété de types de dépistage pour le cancer du côlon. Bien qu’une coloscopie soit l’examen le plus intensif à passer, le groupe de travail américain de prévention a indiqué que les personnes ne présentant pas un risque élevé de contracter la maladie ne commencent pas un dépistage normal avant l’âge de 50 ans.
Comme l’indique un examen effectué par la spécialiste Kristin Sheffield, une professeur assistant de chirurgie à l’Université du Texas, « plus de 30% des coloscopies » effectuées au Texas via les déclarations de Medicare étaient « potentiellement inappropriées par rapport aux directives de dépistage ».
D’autres méthodes de dépistage de la maladie du côlon comprennent un test de sang occulte dans les selles et une sigmoïdoscopie flexible. L’Université du Texas pense qu’une coloscopie réalisée sur des patients non basée sur les directives de dépistage peut exposer à des dangers sans avoir la preuve que cela leur sera bénéfique.
Les effets secondaires liés à une coloscopie: Selon la Société canadienne du cancer, une coloscopie présente les dangers potentiels suivants: quelques traces de sang dans les selles pendant 1 à 2 jours (si une biopsie a été pratiquée ou si un polype a été retiré), des nausées, des vomissements, des ballonnements ou une irritation du rectum due à des substances utilisées pour nettoyer le côlon et l’air utilisé pour le gonfler.
Si votre médecin ne prescrit pas une coloscopie immédiatement, il peut proposer une sigmoïdoscopie. Cette technique s’apparente à une coloscopie dans la mesure où ils utilisent tous deux un mince tube adaptable muni d’une caméra pour inspecter le côlon. La sigmoïdoscopie n’examine que le tiers inférieur du côlon alors que la coloscopie examine tout le côlon.
Les médecins prescrivent d’abord un test de recherche de sang occulte dans les selles afin de détecter la présence de sang dans les selles du patient. S’il y a du sang, le spécialiste suggérera sans doute une sigmoïdoscopie ou une coloscopie.
Les complications graves liées à la coloscopie: Selon la Société canadienne du cancer, une coloscopie peut entraîner des inconvénients peu fréquents mais néanmoins graves, notamment une perforation de l’intestin, des saignements abondants ou une réaction allergique au médicament utilisé pour la sédation.
Selon l’examen effectué par l’Université du Texas spécifié plus haut, non, les fausses coloscopies ne sont pas préjudiciables pour les patients, elles n’offrent essentiellement aucun avantage et constituent un terrible usage abusif des ressources et du temps du centre de soin.
Comme l’a indiqué la Société canadienne du cancer, la meilleure activité consiste à obtenir des informations sur la manière dont vous devez vous préparer. Si vous subissez une coloscopie, votre médecin vous expliquera ce que vous devez faire pour la planifier.
La Société canadienne du cancer dit qu’elle suggère indubitablement de sauter le petit-déjeuner et le dîner avant la procédure. Ils demandent également de boire entre 2 et 4 litres de liquide contenant des diurétiques et des électrolytes.
La Société canadienne du cancer affirme que la plupart des coloscopies ne prennent que 30 à 45 minutes à effectuer, mais parfois, elles prennent plus de temps. Après le test, le patient est contrôlé pendant 1 à 2 heures.
« Vidéo recommandée – Six signes précurseurs du cancer anal dont les gens sont gênés de parler »