Vladimir Poutine s’est vanté que le libéralisme aux États-Unis et en Europe avait survécu à son objectif et a qualifié la décision d’autoriser des millions de migrants à entrer dans l’Union européenne d’ « erreur capitale » lors du sommet du G20 à Osaka.
Le président russe a critiqué le point de vue de l’Occident sur le multiculturalisme, l’immigration et les droits des homosexuels, affirmant qu’il attaquait les valeurs familiales traditionnelles.
Dans une interview, le dirigeant russe a déclaré que le libéralisme était sur le point de disparaître depuis que le peuple a tourné le dos à ces problèmes.
Il a également déclaré qu’Angela Merkel, chancelière allemande, avait commis une erreur fondamentale dans sa décision de 2017 d’accueillir un million de réfugiés dans le pays.
M. Poutine a ajouté que l’idée libéralisme présuppose un certain laxisme. Il a ajouté que les migrants pouvaient violer, piller et tuer en toute impunité, leurs droits en tant que migrants devant être protégés.
Il a en outre ajouté que chaque crime devait être puni et que le libéralisme était désormais obsolète.
Les pays du G20 (les pays dont la croissance et les économies sont les plus fortes et les plus dynamiques au monde) prévoyaient de se réunir à Osaka, au Japon.
La première réunion importante a eu lieu entre le chef de la Russie et Donald Trump, où le président américain a qualifié de très, très bonnes les relations avec son homologue. Il a ajouté que c’était un honneur d’être avec le président Poutine.
Un moment étrange a suivi leur poignée de main lorsque que le président des États-Unis a supplié, en souriant, Poutine de ne pas se mêler des élections.
En contradiction, le dirigeant russe a eu droit à un accueil glacial face à Theresa May.
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