Quand on parle de la forêt amazonienne, on pense souvent au Brésil.
Mais si la majeure partie de la forêt pluviale se trouve à l’intérieur des frontières du Brésil, elle s’étend en réalité sur des régions de la Colombie, du Pérou, de l’Équateur, du Venezuela et d’autres pays plus petits d’Amérique du Sud.
Avec une superficie de plus de 7 millions de kilomètres carrés, cet énorme écosystème de zones humides, de jungle et de rivières est à juste titre désigné comme le poumon de notre planète.
Regardez pour en savoir plus sur cette question importante ci-dessous.
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La quantité stupéfiante de dioxyde de carbone qu’elle absorbe et l’oxygène qu’elle libère bénéficient directement aux animaux et humains dans le monde entier. Il y a tellement d’humidité et de précipitations en Amazonie que les nuages qui se forment au-dessus de la forêt tropicale sont surnommés la « rivière dans le ciel ».
C’est vraiment impressionnant de constater que la majeure partie de la pluie qui baigne la planète provient de l’Amazonie, le travail inestimable des arbres qui s’y trouvent.
Avec plus de 390 milliards d’arbres dans la forêt pluviale, l’Amazonie représente la moitié de la forêt pluviale restante de la planète. Il y a 16 000 espèces d’arbres différentes et on y trouve une espèce animale connue sur dix dans le monde. En comptant seulement les espèces d’oiseaux et de mammifères, plus de 2 000 espèces habitent l’Amazonie.
Dire que l’Amazonie est importante pour notre planète et notre bien-être est un euphémisme.
La forêt amazonienne existe depuis 55 millions d’années et pourtant, il n’a fallu que quelques générations humaines pour menacer son existence et, par extension, notre existence même en tant que race humaine. La cupidité humaine sans précédent a vu des gens brûler de vastes étendues de forêt tropicale pour faire place à l’agriculture et à l’industrie sans se soucier des coûts en termes de biodiversité végétale et animale.
Clairement, ces personnes ne se rendent pas compte à quel point l’Amazonie est importante pour la survie de l’espèce humaine elle-même.
Mais ce qui est encore plus triste, c’est que les dirigeants du monde soient indécis sur ce qu’il faut faire face à ces activités humaines destructrices. On pourrait penser qu’un instinct collectif de préservation aurait dû entrer en jeu à présent, mais malgré la logique, les intérêts opposés sont tout simplement trop forts pour abandonner l’attrait du profit monétaire.
Une chose reste cependant claire. Si nous voulons survivre en tant qu’espèce, la forêt amazonienne doit être protégée à tout prix. Si les gouvernements ne peuvent pas agir, il incombe alors aux personnes partageant les mêmes idées de travailler ensemble et de faire ce qu’elles peuvent.
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