Une larve a été trouvée fin octobre dans une boîte de lait infantile.
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Un habitant du Val-de-Marne, a découvert fin octobre une larve vivante dans une boîte de lait en poudre de la marque Gallia. « Ma belle-famille est installée en Chine, raconte-t-il à 20 Minutes, et cet été nous leur avons amené des boîtes de lait infantile achetées en France dans une grande surface. »
Il y a quelques jours, sa belle-sœur remarque que sa petite fille, âgée de 6 mois, a mal au ventre. « Elle a commencé à chercher s’il y avait un problème au niveau de l’alimentation, poursuit Maxime. Et c’est en préparant un biberon qu’elle est tombée sur la larve cachée dans la boîte ».
La famille qui a acheté le produit, veut informer les autres consommateurs.point 180 |
Le consommateur concerné avait alors pris contact avec Gallia.point 235 |
« Ils m’ont proposé trois boîtes en compensation.point 49 | Mais même s’ils m’avaient proposé 300 boîtes, ça ne m’aurait pas intéressé.point 125 | Ce que je veux, c’est qu’ils informent les parents qui ont pu acheter le même lot, pour que les consommateurs puissent vérifier qu’il n’y a pas de problème.point 265 |
C’est peut-être un cas isolé, mais il faut en être certain.point 54 | On ne peut pas passer ça sous silence ».point 90 | Selon les informations fournies par ce dernier, le lot concerné est un lait 2e âge en relais d’allaitement : il s’agit du n°100762025 avec une date d’expiration au 14 juillet 2019.point 255 | 1
Danone estime que la contamination a pu intervenir après la production et la mise en boîte.
Le service communication de Danone, qui possède la marque Gallia, assure prendre le problème très au sérieux. « On essaye de comprendre ce qu’il s’est passé, explique une porte-parole du groupe. Toutes les autres boîtes de ce lot produit en avril 2018 ont été vendues, et depuis nous n’avons eu aucune autre réclamation ».
« Si un insecte était arrivé jusqu’à la ligne de production, il n’y a aucune chance pour qu’il ait pu rester en vie en ayant passé six mois dans la boîte, poursuit Danone. Tout ça nous fait penser à une contamination intervenue après le site de production, par exemple dans un entrepôt logistique. » Le groupe a d’ailleurs demandé au consommateur concerné de lui renvoyer la boîte et la larve afin de mener des analyses.
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