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Nature: les clichés de cet ours à 2.800 mètres d’altitude dans le Pyrénées sont à couper le souffle !

Crédit Photo: Google


Un photographe a eu la chance d’apercevoir un ours en train de se balader sur la crête d’une montagne Pyrénéenne.

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Il a donc saisi son appareil photo et a capturé cet instant magnifique et magique…

Les clichés de cet ours à 2.800 mètres d’altitude sont à couper le souffle !

Nathan Birrien était tranquillement chez lui ce samedi dans la petite commune d’Azet, dans les Hautes-Pyrénées.

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Mais le photographe indépendant a aperçu un ours en train de marcher sur une crête à 2.800 mètres d’altitude et est sorti prendre des clichés qui sont à couper le souffle

Probablement l’une des rencontres les plus belles de ma vie ! Quand la Nature reprend ses droits, elle nous offre des…

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Posted by Nathan Birrien Visual on Saturday, April 4, 2020

Nathan Birrien a confié: « C’est la photo la plus inattendue que j’aie faite. Le fait de le voir marcher seul sur la crête, c’était unique. Je me suis retrouvé au bon endroit, au bon moment. Grâce à quelques sources, j’ai appris la présence probable d’un ours. J’ai eu la chance de pouvoir l’observer pendant une petite heure. »

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C’est grâce à son téléobjectif que l’on peut distinguer l’ours en train d’évoluer sur la montagne. Il a ensuite partagé les photos sur les réseaux sociaux et les internautes ont adoré !

L’ours, Goiat, a été repéré deux jours plus tôt dans les environs

Le gros nounours, un mâle né en 2006 en Slovénie, avait été aperçu à Génos, une commune limitrophe d’Azet.point 353 |

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Pour Alain Reynes, responsable de l’association Pays de l’Ours-Adet « Il est rarement possible d’identifier un ours à partir d’une photo.point 137 | Il semble toutefois qu’il s’agisse de Goiat, qui est l’un des rares à être localisable car équipé d’un collier GPS ».point 249 | 1

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Crédit Photo: Google

Goiat a été lâché en juin 2016 dans les Pyrénées Espagnoles, en Catalogne, et il est devenu l’ennemi numéro 1 des éleveurs qui l’accusent d’avoir tué des animaux.

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Il a maintenant l’étiquette « d’ours à problèmes » et nombreux sont ceux qui souhaitent qu’ils partent du secteur comme les quarante autres spécimens du massif des Pyrénées.

 

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