X
    Categories: Actus

Monseigneur Luc Ravel, archevêque de Strasbourg, réagit à l’attaque de Nice

18 mars 2018 : 32e Assises des Dirigeants Chrétiens (EDC). Mgr Luc RAVEL, arch. de Strasbourg, lors de la messe célébrée en la cathédrale Notre-Dame à Strasbourg (67), France.


L’archevêque Luc Ravel appelle à la solidarité générale contre l’islamisme

ADVERTISEMENT

L’archevêque de Strasbourg réagit à l’attaque de Nice

Le 29 octobre dernier, trois personnes ont été tuées dans la basilique Notre-Dame à Nice.

Suite à cet effroyable attentant, l’archevêque de Strasbourg, Mgr Luc Ravel, a appelé mercredi à : « éradiquer cette plante souterraine et vénéneuse, l’islamisme, préjudiciable à tout le monde y compris aux communautés musulmanes ».

ADVERTISEMENT

Monseigneur Luc Ravel explique avoir deux réactions face à cette attaque, une qui vient du cœur, l’autre de la raison.

« S’il y a une guerre à conduire, elle est là et elle se superpose à la crise épidémique. On cherche à rajouter à l’angoisse la terreur. La peur ne gagnera pas si nous sommes solidaires, écrit-il encore dans un communiqué. C’est une guerre et cessons de parler de loups solitaires : il ne s’agit pas d’une série de personnes détraquées, mais des résurgences d’un même rhizome maléfique. »

ADVERTISEMENT

L’archevêque de Strasbourg fait un rapprochement avec une autre attaque

L’archevêque de Strasbourg fait le rapprochement avec l’assassinat par deux jihadistes du père Jacques Hamel en juillet 2016 dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvrayun, en Seine-Maritime.

ADVERTISEMENT

« Un prêtre, hier, un sacristain, aujourd’hui, et des chrétiens, hommes et femmes priant, massacrés par le même terrorisme islamiste, après et avec des juifs, des musulmans et des incroyants. Je pleure du fond de mes entrailles toutes ces victimes et leurs familles […] Tout ceci est à vomir. » 

ADVERTISEMENT

L’archevêque de Strasbourg a conclu par un message plus positif : « Prions pour la paix dans le monde et la paix dans notre France. »

À lire aussi :

Attentat de Nice: Simone, une Brésilienne qui vivait en France depuis 30 ans, fait partie des victimes

ADVERTISEMENT