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L’Iran menace d’attaquer Israël si les États-Unis mettent à exécution leurs menaces


C’est sur Twitter qu’un haut responsable du régime iranien a ouvertement menacé Israël, menaçant de réduire les villes de Tel-Aviv et d’Haïfa « en poussière », et ce si

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Donald Trump frappait un des 52 sites en Iran. Le Président des États-Unis avait en effet menacé l’Iran.

Iran et États-Unis : des menaces sur Twitter

Samedi 4 janvier, Trump avait en effet annoncé être prêt à frapper militairement 52 sites iraniens, si jamais l’Iran s’en prenait au personnel ou aux objectifs américains.

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Le président a indiqué que ces sites iraniens étaient « de très haut niveau et très importants pour l’Iran et pour la culture iranienne ». Il a également ajouté dans son tweet que les États-Unis ne veulent « plus de menaces ».

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Trump, dans plusieurs tweets, menace ouvertement l’Iran de représailles en cas d’attaques de leur part.

 

Ainsi, le lendemain, Mohsen Rezaï, ancien commandant en chef des Gardiens de la Révolution, et aujourd’hui secrétaire du Conseil de discernement, lui a répondu directement sur Twitter : « M.point 220 |

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Trump, vous avez tweeté que vous allez attaquer 52 cibles en Iran ? », avant d’ajouter, toujours sur Twitter : « Soyez certain que l’Iran réduira [alors] Haïfa et les centres [urbains] israéliens en poussière d’une façon telle qu’Israël serait rayé de la surface du globe ».point 269 | 1

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Le haut responsable poursuit dans un autre tweet : « Si l’Amérique prend la moindre mesure après notre riposte militaire, nous réduirons Tel-Aviv et Haïfa en poussière ».

Une situation tendue entre l’Iran et les États-Unis

L’Iran ne reconnait pas la légitimité de l’État d’Israël. Ainsi, ce n’est pas la première fois que des généraux menacent de s’en prendre à l’État juif, surtout en cas d’attaque américaine.

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La tension ne cesse de monter depuis l’assassinat du général Qassem Soleimani, qui a été tué dans une frappe américaine à Bagdad le 3 janvier.

Soleimani était une figure majeure de l’État iranien, chef de la Force Qods, unité d’élite des Gardiens de la Révolution. Depuis sa mort, l’Iran a promis de se venger.

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