Le président américain est accusé de « meurtre et de terrorisme » par l’Iran qui a émis un mandat d’arrêt à son encontre.
L’aide d’Interpol a également été sollicitée.
La raison pour justifier ce mandat d’arrêt est la mort de Qassem Soleimani, numéro deux officieux du régime de Téhéran, qui avait été tué par une frappe de drone américain en janvier dernier.
L’offensive américaine était une réponse à un raid des pro-iraniens en « zone verte » de Bagdad où se trouve notamment l’ambassade américaine. Une démonstration de force dans la région qui avait particulièrement irrité les États-Unis.
Téhéran demande l’aide d’Interpol
Il aura fallu 6 mois à l’Iran pour donner suite aux menaces de réplique émises après l’attaque du drone. L’Iran poursuit formellement Donald Trump et 35 autres personnes perçu comme impliqué dans le raid contre le haut dirigeant Iranien.
Le procureur de Téhéran, relayé par l’agence de presse officielle du régime FARS, a indiqué avoir demandé l’aide d’Interpol pour arrêter le président américain en demandant une « notice rouge ».
Évidemment cette demande n’a pratiquement aucune chance d’aboutir selon tous les observateurs internationaux.
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