Depuis qu’il est devenu président, Donald Trump n’a pas eu l’occasion de se rendre en visite officielle au Royaume-Uni.
Cependant, malgré la crise du Brexit, la reine Elizabeth II semble enfin donner sa chance à Trump pour le 75e anniversaire du débarquement, le 6 juin.
Selon People Magazine, « après de longs échanges », la reine a décidé d’accueillir le président Trump, qui est déjà à plus de deux ans de mandat, pour marquer le succès de l’opération Overlord, la grande invasion alliée qui a lancé la marche vers la victoire. dans la seconde guerre mondiale.
Le journal Metro rapporte que le président pourrait être conduit en voiture dans le centre de Londres au palais de Buckingham alors qu’il serait accompagné de membres de la cavalerie du Queen’s Household. Il pourrait également recevoir un salut au fusil ainsi qu’une invitation à un dîner officiel au palais qui se tiendra dans la salle de bal.
Bien que les détails entre la Maison-Blanche et le Palais de Buckingham soient encore à régler, une annonce officielle devrait paraître plus tard cette semaine. Après cette visite, Trump devrait se rendre sur la côte nord de la France, où se dérouleront les festivités officielles du débarquement.
Si cette visite se concrétise, ce sera la première visite officielle de Trump au Royaume-Uni. Cependant, ce n’était pas sa première visite. C’est déjà arrivé en 2018 lorsque le président s’est rendu à Londres pour une série d’engagements officiels avec des législateurs et des représentants du commerce britanniques.
Trump et sa femme, Melania, se sont rendus au palais de Buckingham pour prendre le thé avec la reine, même s’ils ne se sont pas rendus au banquet.
La visite de Trump à cette époque a été rendue plus notable par les manifestations, en particulier la montgolfière « Bébé Trump ».
Lors de la prochaine visite officielle, Trump rencontrera à nouveau la première ministre Theresa May, mais passera aussi quelques jours avec d’autres membres du gouvernement britannique, parmi lesquels le dirigeant controversé du parti travailliste Jeremy Corbyn, connu pour ses critiques de l’administration de Trump.
Cette visite à l’un des alliés les plus précieux des États-Unis est une réalité. Trump devait effectuer une visite officielle lors de son élection en 2016, mais ses plans ont échoué, et pas seulement à cause des dirigeants britanniques.
Theresa May a offert une visite d’État à Trump lors de son entrée en fonction, ce qu’il a accepté. Mais la Maison Blanche s’est par la suite retirée de « préoccupations de sécurité ». Bien que la cause des « inquiétudes » ne soit pas claire, au moins deux millions d’habitants du Royaume-Uni ont envoyé une pétition signée à May pour lui demander de se retirer de la réunion, car Trump pourrait finir par embarrasser la reine.
Le journal Metro a poursuivi: « On s’attendait également à ce que Trump ouvre la nouvelle ambassade américaine à Londres en février dernier, mais l’idée a également été abandonnée car il n’était pas satisfait par l’emplacement…
Le journal anglais Town & Country a rapporté que Trump avait fait l’éloge de la reine Elizabeth dans le passé.
« Je pense qu’elle représente si bien son pays », a déclaré Trump l’année dernière. « Si vous y réfléchissez, elle représente son pays depuis tant d’années, elle n’a vraiment jamais commis d’erreur. C’est juste une femme incroyable. »
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