De la gomme à mâcher à la consommation de déjections fécales, il existe de nombreuses théories sauvages sur la façon d’éviter de se faire prendre au volant en état d’ébriété.
L’une des plus frappantes est l’idée que si vous sucez des pièces de cuivre – des centimes, il y aura une réaction chimique qui confondra un alcootest. Ce ne sera pas le cas. Cependant, beaucoup de gens l’ont essayé, y compris la star du rugby gallois et britannique des Lions, JPR Williams, qui a échoué au test en 2010.
Quand la police lui a dit de vider sa bouche, il avait craché trois pièces de 1p. Les éthylotests modernes sont très difficiles à tromper. Une lumière traverse un échantillon de la respiration de la personne, ce qui modifie l’intensité de la lumière. La quantité d’alcool dans l’échantillon, et le degré d’alcool de la personne, est déterminé par la quantité de lumière qui change. Les pièces de cuivre ne peuvent rien y changer.
En 1985, un conducteur canadien a commencé à manger son propre caleçon dans l’espoir qu’il absorberait l’excès d’alcool.
Les agents ont entendu des déchirures à l’arrière de leur voiture et lorsqu’ils ont regardé en arrière, ils ont pu le voir déchirer des morceaux de l’entrejambe et le mettre dans sa bouche.
Toujours au Canada, un autre conducteur a mis des excréments dans sa bouche pour essayer de piéger un alcootest.Au début des années 90, une autre théorie farfelue a mené à la réalisation de tests scientifiques pour voir si le fait de roter avant d’être testé pouvait aider à réduire les niveaux d’alcool.
L’étude n’a révélé aucun effet.Cependant, les scientifiques ont trouvé un moyen de battre un alcootest : Ne buvez pas si vous conduisez.