Un couple de Sydney, en Australie, a été arrêté pour avoir nourri leur enfant avec un régime végétalien, ce qui lui a valu une crise d’épilepsie.
Ils sont condamnés à cinq ans de prison.
Les médecins ont constaté que l’enfant de 20 mois, qui était mal nourri, souffrait de rachitisme et n’avait pas de dents lorsqu’il est entré dans la salle d’urgence pour soigner son trouble.
« Les enfants de cet âge devraient peser environ 7 et 13 kilos », suggère le centre des urgences de la ville.
Pour des raisons juridiques, les noms du père et de la mère n’ont pas été révélés.
Les documents de la cour ont été examinés par le journal d’informations australien news.point 385 |
com.point 4 | au, il montrait que les parents donnait au bébé «une tasse d’avoine avec du lait de riz et une demi-banane le matin, et un morceau de pain grillé avec de la confiture ou du beurre d’arachide pour le déjeuner.point 191 | Pour le dîner, la mère a dit au tribunal qu’elle servirait au bébé du tofu, du riz ou des pommes de terre, mais sa fille était difficile pour se nourir.point 325 |
»point 4 | 1
«Ce régime a entraîné de graves carences en éléments nutritifs chez le nourrisson, notamment un manque de calcium, de phosphate, de vitamine B12, de vitamine A, de fer et de zinc», a rapporté news.com.au. « Ses niveaux de vitamine D, qui peuvent causer une maladie osseuse si ils sont trop bas, étaient »indétectables dans son cas. »
Les os sont affaiblis par des carences en calcium, en phosphore et en vitamine D et entraînent le rachitisme.
La mère a subit une dépression après la naissance de l’enfant, selon l’avocat de la mère. En plus de cela, l’avocat a également affirmé que la femme soupçonnait que le père de la fille la trompait et a mis en doute ses compétences de jeune maman.
Un psychologue a déclaré à la cour qu’il n’y avait aucune preuve de dépression dans les dossiers médicaux. Selon un psychologue, la mère était réellement heureuse de passer du temps avec son enfant, car elle était bien liée avec elle.
Un avocat du père de la fille a déclaré que son client ne pouvait pas aider l’enfant car il était impuissant et que la mère lui dictait ses soins.
La juge Sarah Huggett, du Downing Centre Court, à Sydney, a acquitté les déclarations de l’avocat et réprimandé le père, qui était un «homme instruit» qui «aurait pu la prendre et l’amener chez un médecin».
Elle a ajouté que le père aurait dû remarquer l’état du bébé, car l’enfant de 20 mois ne pouvait ni marcher ni parler et «ne franchissait pas les étapes de croissance».
L’enfant a passé un mois à l’hôpital après sa crise et a été pris en charge par des infirmières, qui ont constaté que la fille n’était même pas capable de se retourner. Le bébé a pris 6 kilos et a commencé à ramper et à rester debout après avoir passé six mois loin de ses parents.
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