Depuis le début de la crise du COVID-19 les plus grosses fortunes ont beaucoup perdu.
Jeff Bezos (Amazon), Bill Gates (Microsoft), Mark Zuckerberg (Facebook) ou le Français Bernard Arnault (LVMH) ont enregistré des pertes estimées à plusieurs milliards d’euros.
En ce qui concerne la santé, le
vonjour.fr/coronavirus-comment-ca-se-passe-pour-les-stars-et-les-tres-riches/">Coronavirus ne s’arrête ni aux frontières ni à la taille du portefeuille. C’est également le cas pour les marchés financiers qui ont connu des séances catastrophiques.
C’est notamment le cas en France avec la plus forte baisse du CAC 40 jamais enregistrée. Malgré un rebond vendredi dernier, plusieurs millards de dollars de capitalisation boursière ce sont envolés en fumé.
Les plus grands perdants sont logiquement les plus fortunés. L’homme le plus riche du monde, Jeff Bezos (Amazon) aurait perdu plus de 8 millards de dollars en 7 jours, passant de 117 milliards à 109 milliards selon Forbes.
Bill Gates aurait lui perdu plus de 5,3 milliards de dollars. L’une des plus grosses pertes est française, il s’agit de Bernard Arnault qui aurait perdu plus de 14 milliards de dollars en quelques jours. La fortune du PDG de LVMH, troisième homme le plus riche du monde, est passée à 84,6 milliards.
Notons tout de même que ces pertes sont virtuelles car elles représentent la perte de valeur de leurs titres en bourse qu’ils n’ont pas vendu. Leur valeur pourrait très bien augmenter à nouveau en fonction de l’évolution de la crise et des fluctuations des marchés boursiers.
C’est particulièrement le cas pour les ménages américains qui cotisent massivement sur des plans épargnes retraite nommés 401(K) et qui sont gérer par des fonds de pension. Cela concerne plus d’un américain sur deux, qui vont tous recevoir une mauvaise surprise sur leur prochain relevé.
Une conséquence probable sera une baisse de la consommation des ménages qui auront vu leur épargnes virtuelles diminuer drastiquement. Quand on sait que la consommation est le principal moteur de l’économie américaine, on peut s’attendre à des mois à venir difficiles pour l’économie américaine et par ricochet pour l’économie mondiale.
Il faudra néanmoins attendre la fin du premier trimestre 2020 pour avoir une idée plus claire des pertes générées par la crise du Coronavirus.
Les secteurs du tourisme, de la restauration et du divertissements seront durement touchés par la crise du COVID-19. À l’instar d’autres industries, les secteurs cités ne pourront pas rattraper leurs dépenses perdues, subissant de plein fouet les conséquences des restrictions imposées par les différents gouvernements.
Ainsi, l’un des grands perdants du Coronavirus se nomme Disney.
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