Le ministère du Travail est parti à la chasse aux fraudeurs concernant le chômage partiel.
La barre des 50 000 contrôles vient d’être franchie et ont abouti à 9500 cas de « suspicions » de fraude et 440 procédures pénales en cours. La fraude au chômage partiel se chiffre à 225 millions d’euros sur les 30 milliards alloués par l’État aux entreprises. Plus de la moitié de l’argent aurait déjà été récupérée.
Ceci représente moins d’1% du budget global attribué au chômage partiel.
Pendant le confinement au mois d’avril, près de 9 millions de salariés ont pu bénéficier de cette aide de l’État.