Ce petit garçon était retenu en captivité chez ses parents, il n’a même peut-être jamais vu le jour…
Les détails glaçants de ce qu’a vécu Max, un enfant qui était enfermé et isolé par ses parents
Le 26 mai dernier, la police américaine avait retrouvé le corps sans vie du petit Maxwell, dans la maison de ses parents à Annville Township, en Pennsylvanie.
Il était nu, sur son lit et couvert d’excréments. Les enquêteurs ont par la suite découvert qu’il y avait des traces de griffures sur les draps du petit garçon, les fenêtres étaient condamnées, il n’y avait aucune lumière naturelle dans la pièce. Sur la porte, des crochets en métal étaient installés pour retenir la victime et une demi-tasse d’eau était a disposition pour que le jeune garçon puisse s’hydrater…
Après une enquête préliminaire, il apparait que Maxwell était retenu captif de sa chambre depuis plusieurs années, il n’est jamais allé à l’école et n’avait jamais vu un médecin.
Les enfants qui vivaient dans cette maison ne le voyaient jamais, un membre de la fratrie a même confié qu’il ne savait pas que Maxwell existait.
Le médecin légiste, après l’autopsie, a déclaré que le garçon souffrait de malnutrition sévère, avec une masse musculaire limitée sur ses quatre membres et des os affaiblis.À 12 ans, Max ne pesait que 21 kilos et il avait de nombreuses blessures sur tout le corps…
Maxwell n’a peut-être jamais vu le monde extérieur !
Les parents, Scott Schollenberger Jr., 42 ans, et la belle-mère, Kimberly Mauer, 35 ans ont donc été arrêtés, et sont maintenant poursuivis par la justice pour « mise en danger de la vie d’un enfant et homicide« .
Ce lundi, le procureur du comté, Pier Hess Graf, a déclaré lors d’une conférence de presse que Max avait terriblement souffert avant sa mort: « Aujourd’hui marque le premier pas sur le long chemin de la justice pour ce petit garçon.
Max Schollenberger existait, je n’appellerai pas cela être vivant, dans un état de souffrance perpétuelle.isolé jusqu’à son meurtre.
Il existait dans les conditions les plus extrêmes et les plus horribles. Il est resté affamé, enfermé etCet enfant n’a jamais attendu avec impatience son premier jour d’école, n’a jamais soufflé des bougies sur un gâteau d’anniversaire ni éprouvé l’amour inconditionnel de la famille.
Le désespoir absolu qu’a été la vie de Max Schollenberger demande que justice soit faite pour sa mort« .À lire aussi :