Le
rappeur Soprano s’est confié dans une interview sur son fils aîné placé à la DDASS et qu’il n’a jamais connu.
Le rappeur Soprano n’est pas fan du bling-bling
Malgré le succès et les récompenses, le rappeur Soprano mène une vie simple et n’est pas fan du bling-bling.
Sur le plateau de C à vous, la journaliste Anne-Elisabeth Lemoine lui avait lancé : «Vous roulez en Citroën C1. Ça ne colle pas avec l’image que l’on a du rappeur» ce à quoi le chanteur avait répondu : «Je suis content d’avoir tout ça, mais ce n’était pas le but.
Le but pour moi c’était de faire des concerts, de faire de la musique. Et en plus, de le faire en famille (…) Je suis en colonie de vacances tous les jours !» En 2018, lorsqu’il était dans le jury de The Voice Kids, le rappeur Soprano avait révélé pourquoi sa femme était aussi discrète et ne s’affichait jamais publiquement à ses côtés : «Mon épouse ne s’intéresse pas à mon succès.
Elle aime ce que je suis en tant qu’homme».
Le fondateur du groupe Psy 4 de la Rime a trois enfants avec sa femme Alexia mais le chanteur a également eu un autre enfant à l’âge de 16 ans qui a été placé à la DDASS par la mère.
Le rappeur Soprano fait des révélations sur son fils aîné placé à la DDASS
Le rappeur Soprano s’est confié sur son fils aîné placé à la DDASS, dans une interview avec Moonwalk : «J’avais des problèmes avec une ex. C’est une chanson que j’ai écrite parce que j’étais avec une fille, à l’époque, qui était tombée enceinte.
Avec la peur, la société, elle avait pris l’enfant et l’avait placé à la DDASS sans me le dire. Je ne savais même pas qu’elle avait accouchée. Et du coup, ça m’a marqué, parce que sur les papiers, il n’y avait pas marqué mon nom, il n’y avait rien.
J’étais papa mais je n’étais pas papa».
Le chanteur a beaucoup souffert de cela pendant des années. Il raconte : «J’ai pété les plombs, en fait. Ça s’entend dans mes textes. J’étais tellement… je ne voulais pas comprendre le pourquoi du comment, j’étais énervé contre elle».
Avec le temps, il explique qu’il a compris pourquoi sa petite amie de l’époque avait pris cette décision mais que c’est toujours très difficile pour lui de ne pas savoir qui est son fils. Il raconte dans l’interview : «Avec les années, j’ai compris qu’elle aussi était jeune, elle était perdue, elle avait peur, il y avait tellement de choses.
Déjà que j’étais mélancolique, ça m’a plongé dans la dépression. Quand tu es père de famille, tu ne peux pas savoir qui est ton fils, tu ne peux pas le voir – encore aujourd’hui, je ne sais pas où il est -, c’était très, très, très difficile durant cette période-là».
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