La cour d’appel de Lyon a rejeté la demande de remise en liberté conditionnelle du principal agresseur du jeune Marin.
Marin, étudiant violemment tabassé en 2016
Marin, jeune étudiant, avait été violemment tabassé en 2016 à Lyon par un groupe d’individus. Il s’était interposé pour défendre un couple à la Part-Dieu. Frappé brutalement, notamment à coups de béquille sur le crâne, il avait été atteint d’un grave traumatisme crânien. Il avait passé 11 jours dans le coma, son pronostic vital était engagé. Aujourd’hui, il souffre toujours de lésions cérébrales.
Audrey Sauvajon, la mère de Marin, a fondé avec son fils l’association « La tête haute je soutiens Marin », qui leur permet de récolter des dons pour pouvoir financer les longs et coûteux traitements que doit subir Marin.
L’agresseur de Marin reste en prison : Sa demande de remise en liberté a été rejetée
Le principal agresseur de Marin avait fait une demande de remise en liberté conditionnelle. Ce mercredi 17 juin, la cour d’appel de Lyon a rejeté sa demande. L’homme est condamné à 7 ans et demi de prison, sa première demande avait été acceptée, puis le parquet avait fait appel.
Avant cette décision, Audrey Sauvajon, la mère de Marin, avait dénoncé la possible libération du principal agresseur au micro de BFM Lyon : « Une libération légèrement anticipée, je peux comprendre, à la moitié de la peine, c’est impossible vu la gravité de ce qu’il a fait« .
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