Philip Morris, le géant du tabac, cessera de vendre des cigarettes en Nouvelle-Zélande pour de nouvelles avancées dans le domaine de la nicotine.
L’organisation se concentre sur les articles de l’IQOS – un appareil qui réchauffe un bâtonnet de tabac et libère de la nicotine, sans la brûler.
L’organisation a besoin que l’administration néo-zélandaise leur accorde des réductions d’impôt pour leurs appareils à la nicotine « sans fumée », ce qui, s’ils l’acceptent, incitera les dépendants à arrêter de fumer. La Nouvelle-Zélande doit être totalement non-fumeur d’ici 2025.
Le directeur général néo-zélandais de Philip Morris, James Williams, a révélé qu’il expulsera toutes les cigarettes des rayons avec ou sans réduction de taxe.
M. Williams a déclaré que l’organisation se concentrera sur les points de l’IQOS qui sont considérés comme étant une option plus bénéfique.
« Je pense que nous devons juste préciser que nous n’avons pas besoin d’un traitement spécial de la part du gouvernement – nous cesserons de vendre des cigarettes quoi qu’il arrive et nous nous conformerons à tous les règlements qui seront adoptés », a déclaré M. Williams.
« Les règlements en vigueur en Nouvelle-Zélande ne sont pas adaptés à ces produits, et le gouvernement l’a reconnu. »
La Nouvelle-Zélande est le principal pays à en faire l’essai et l’Australie pourrait d’ici peu être mise à l’épreuve si l’administration lève son interdiction sur les cigarettes électroniques.
Un rapport du McKell Institute a révélé que l’Australie est en train de laisser passer « l’énorme opportunité de santé publique » de réduire les méfaits de la cigarette en interdisant les cigarettes électroniques.
L’Australie est l’un des 30 pays où la cigarette électronique est illégale.
M. Williams a dit que la raison pour laquelle ils ne retireront pas toutes les cigarettes des étalages à l’heure actuelle est qu’il s’agit d’une « question très complexe ».
Il a dit: « Tout le monde sait que les cigarettes créent une dépendance, donc si nous retirons nos produits, les consommateurs passeront à une cigarette de remplacement ».
« Je pense que la plus grande opportunité est d’offrir aux consommateurs un meilleur choix d’alternatives plus sûres. »
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