Les premiers épisodes de la
série La Garçonne dans laquelle Laura Smet tient le rôle principal, étaient diffusé lundi soir sur France 2. Il s’agit d’une série historique qui se déroule dans les Années folles et dans laquelle la fille de Johnny Hallyday se transforme en homme pour enquêter sur le décès de son ami. Mais à en croire les commentaires sur les réseaux sociaux, la série n’a pas tellement convaincu les téléspectateurs.
Un vocabulaire pas adapté pour La Garçonne
Ce lundi 31 août, France 2 a diffusé les deux premiers épisodes de La Garçonne, une mini-série historique qui se déroule dans les Années folles. Laura Smet interprète le rôle de Louise Kerlac, une femme qui se transforme en homme pour enquêter sur la mort de son ami.
Cependant, les téléspectateurs ne semblent pas avoir été conquis par l’interprétation de l’actrice ni par la série elle-même. Plusieurs internautes ont remarqué des incohérences dans les dialogues car le vocabulaire employé ne correspondait pas à l’époque des Années folles.
« Manque plus qu’un ‘zyva wesh’, ou ‘ta mère la teupu’ et on est bons là ! », a déclaré un internaute mécontent dénonçant au passage l’emploi des termes « morfler », « putain », « dans la merde », et « défoncer » qui ne correspondent pas au contexte de la série.
La Garçonne a suscité de nombreuses critiques
La série La Garçonne n’a pas fait un tabac auprès des téléspectateurs. Certains l’ont même qualifié de « ridicule » et d' »un échec ». « C’est très mauvais, mal écrit, on n’y croit pas… Des faux raccords de partout ! Mettre autant de fric là dedans est une honte ! », a écrit un téléspectateur révolté.
Certains ont également critiqué le mixage du son : « J’ai vraiment du mal à suivre les dialogues, j’entends rien et les voix sont comme étouffées. C’est normal ? Alors que la musique est claire », a déclaré un autre téléspectateur.
Mais le problème majeur évoqué reste celui de l’interprétation de Laura Smet dans le rôle principal. Plusieurs personnes n’ont pas été convaincu par son personnage à l’écran. « Ça ne marche pas (malgré tous les talents déployés).
A partir du moment où le téléspectateur ne peut à aucun moment croire que le personnage de Laura Smet est un homme, il ne pense pas non plus que les autres protagonistes y croient », a indiqué un internaute sur les réseaux sociaux. Une vraie déception pour les téléspectateurs car la série est construite autour de ce concept.
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