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La « conseillère spirituelle » de Trump demande aux « anges » de sauver l’élection


Trump semble de plus en plus susceptible de perdre l’élection présidentielle américaine face à Joe Biden.

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La conseillère spirituelle de Trump en appelle aux anges pour sauver l’élection

La conseillère spirituelle de Trump, Paula White, a dirigé un étrange prêche en direct pour assurer la victoire de Trump aux élections.

« J’entends le son de la victoire”, répète-t-elle plusieurs fois, ajoutant aussi à plusieurs reprises : “Des anges sont délivrés et envoyés d’Afrique et d’Amérique du Sud au nom de Jésus” et “Frappez le sol pour tous les ennemis qui s’alignent contre vous car vous nous donnerez la victoire Dieu.”

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« Le Seigneur dit que c’est fait. Le Seigneur dit que c’est fait. Le Seigneur dit que c’est fait. Car j’entends la victoire, la victoire, la victoire, la victoire. Dans les coins du ciel. Dans les coins du ciel. Victoire, victoire, victoire, victoire, victoire, victoire ».

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La télévangéliste Paula White a prié pour que des « anges » aident Trump lors des élections américaines.

Dans son prêche récité en anglais et en latin, elle s’en prend aux « confédérations démoniaques qui tentent de voler l’élection à Trump« .

Elle a également affirmé que des anges avaient été « envoyés d’Afrique en ce moment même » pour aider M. Trump à remporter la victoire.

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Le clip de Paula White, qui a dirigé la prière lors de l’assermentation de Trump à la Maison Blanche en 2016, a été largement diffusé sur Internet.

Paula White, la conseillère spirituelle de Trump depuis 2016

Paula White a le don de faire des proclamations étranges au nom du président.

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Elle a déclaré lors des audiences de mise en accusation de novembre dernier que les ennemis politiques de M. Trump « opèrent dans la sorcellerie » et que « toute personne [ou] entité qui s’aligne contre le président sera exposée et traitée et renversée par le sang supérieur de Jésus ».

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La sincérité des convictions religieuses de Trump est sujette à caution.

Il a régulièrement refusé ou été incapable de citer son passage préféré de la bible et a même refusé une fois de dire s’il préférait l’Ancien ou le Nouveau Testament, plaisantant plutôt qu’il considérait son propre manuel d’affaires, The Art of the Deal (1987), comme le plus grand livre jamais écrit.

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