C’est encore une sordide histoire qui prouve que tout le monde ne peut pas être parent…
Un bébé a été découvert mort dans un seau de goudron au domicile de ses parents
Le week-end dernier, un bébé d’une semaine a été retrouvé mort, dans un seau de goudron dissimulé au domicile de ses parents.
Le corps du nourrisson a été découvert par une personne, dont l’identité n’a pas été révélée, et lorsque les autorités sont arrivées au domicile du couple habitant au Texas, aux Etats-Unis, il n’y avait personne. C’est grâce à la géolocalisation de leurs téléphones portables que Donna et Roland Grabowski ont pu être arrêtés et enfermés.
Selon de sources, le couple a menti aux enquêteurs en racontant que leur enfant se trouvait chez des amis et ont demandé à une connaissance de mentir à la police en lui demandant de faire passer son propre bébé pour le leur. En effet, un message envoyé de leur téléphone stipulait: « J’ai besoin que tu dises que ton bébé est le nôtre. Tu fais ça vite, ils ont juste besoin de le voir ».
Ensuite, la mère a déclaré que son enfant était né dans un centre médical de McKinney sauf que cet établissement n’avait aucune trace de cette naissance. Enfin, il semblerait que le couple ait déclaré à des amis que leur enfant était mort à la naissance le 29 juillet dernier…
Une sordide histoire qui mérite d’être éclaircie…
D’après un policier chargé de l’enquête: « lorsque nous avons découvert le corps, il était enveloppé dans une couverture et submergé dans un grand seau de goudron à l’arrière de leur résidence.point 366 |
Je fais ça depuis 30 ans, j’ai vu des choses folles, mais c’est la première fois que je trouve un enfant mort dans un seau de goudron… et j’espère que cela sera la dernière ».point 156 | 1
Néanmoins, une chose troublante s’est révélé dans cette enquête, le père a déjà eu des problèmes avec la justice, notamment pour « agression sur un enfant » mais aussi pour « vol » et « possession de drogue ». Il est aussi inscrit sur une liste de délinquants sexuels.
Le couple est pour le moment inculpé pour « abus sur un cadavre et dissimulation de preuves » avec une caution de libération fixée à 900.000 euros. Une autopsie sera pratiquée dans les prochains jours pour établir les causes du décès de l’enfant.
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