Ce dimanche 3 janvier, Francis Cabrel s’est confié dans Sept à huit sur ce qu’il pensait de notre époque.
Face à la journaliste Audrey Crespo-Mara, le chanteur est paru désabusé concernant notre époque actuelle, qu’il trouve « dure » et « violente ».
Francis Cabrel a sorti un nouvel album
En octobre dernier, Francis Cabrel a sorti son 14e album studio après de nombreuses années d’absence.
Intitulé « A l’aube revenant« , ce dernier s’est déjà vendu à plus de 110 000 exemplaires.Jean-Jacques Goldman, son public lui reste fidèle.
Bien qu’il soit plutôt discret dans les médias, à l’instar deLe chanteur de 67 ans compose toujours ses chansons à Astaffort dans le Lot-et-Garonne, la commune où il est né et où vit toute sa famille.
L’interprète du célèbre titre « Je l’aime à mourir« est marié à Mariette depuis plus de cinquante ans et a trois filles : Aurélie née en 1985, Manon née en 1990 et Thiu née en 2004 et adoptée au Vietnam à l’âge de 3 mois.Invité dans l’émission Sept à huit ce dimanche, le chanteur a refusé à nouveau de parler de sa famille.
En revanche, Francis Cabrel a évoqué pourquoi il était aussi distant avec le show-business : « Je suis assez content d’avoir mené ma vie comme ça, entre des apparitions où je m’approche de ce qu’on appelle le show-business, et des longues périodes où je m’en éloigne pour vivre comme un père de famille, un villageois, tranquille… »
Francis Cabrel juge notre époque très « dure » et « violente »
Après cette explication, la journaliste Audrey Crespo-Mara a interrogé le chanteur sur ce qu’il pensait de notre époque actuelle.
« C’est très actuel finalement, ce retour à la famille, à la campagne, à sa région d’origine.Est-ce que ça vous rassure sur l’époque ? », ce à quoi Francis Cabrel a répondu : « Ça me rassure un peu, oui.
Un peu… parce qu’il n’y a pas que des sujets rassurants. Je la trouve dure. Elle est crue, elle est dure, elle est violente par rapport à celle que j’ai vécue moi ».Lorsqu’il a développé davantage le fond de sa pensée, l’interprète de « Petite Marie« a notamment évoqué les attentats et les « affrontements hebdomadaires avec la police« .
« La violence est d’une banalité.
C’est des choses qu’on ne vivait pas ça », a-t-il déclaré. Lorsque la journaliste de TF1 a indiqué que l’on avait souvent tendance à penser que c’était mieux avant, Francis Cabrel a répondu par l’affirmative.« Oui mais là, je suis vraiment sûr de moi, c’était vraiment mieux avant », a-t-il déclaré tout en gardant le sourire.
#SeptàHuit
« Je suis vraiment sûr de moi, c’était mieux avant ! »
En troubadour des temps modernes, il chante l’amour qu’il érige en absolu et l’époque qu’il trouve crue et violente, #FrancisCabrel est le « Portrait de la Semaine » d’@audrey_crespo
⏰ Ce dimanche, dès 18:20 ! pic.twitter.com/DEGCH0BebVADVERTISEMENT — TF1 (@TF1) January 3, 2021
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