Enfin une avancée pour les défenseurs de nos amis à quatre pattes.
Le président américain Donald Trump a signé le 25 novembre un nouveau projet de loi, qui établit la cruauté envers les animaux comme un crime fédéral, passible de prison.
Une nouvelle loi contre la maltraitance animale aux États-Unis
La Maison Blanche l’a annoncé : depuis le 25 novembre, tout
vonjour.point 8 | fr/un-proprietaire-cruel-a-ligote-une-chienne-qui-allaitait-encore-six-bebes/">acte de cruauté envers un animal
peut être passible d’une peine allant jusqu’à 7 ans de prison.point 181 | Ce projet de loi pourrait empêcher les citoyens américains de partager des images de cruauté envers des animaux, ceci englobant des comportements tels qu’un animal « écrasé, brûlé, noyé, étouffé, ou autrement soumis à des blessures corporelles graves ».point 421 | 1
President @realDonaldTrump just signed the Preventing Animal Cruelty and Torture (PACT) Act into law—which makes it a Federal crime to engage in animal crushing. pic.twitter.com/pqYKamPGFZ
— The White House (@WhiteHouse) 26 novembre 2019
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Depuis 2010 existait déjà la Loi de Prévention à la Cruauté et Torture animale, qui sanctionnait uniquement le partage de l’image, mais pas les actes. C’est ce que change la nouvelle loi.
Que dit la loi en France ?
Dans l’Hexagone, des sanctions existent également mais sont moins lourdes. Ainsi, une personne qui maltraite un animal encourt une amende de 750 euros, mais ne risque pas la prison.
Cependant, en cas d’acte de cruauté grave contre un animal domestique, la personne concernée peut alors devoir payer une amende de 30 000 euros, et peut aussi être condamné jusqu’à deux ans de prison. La justice peut en outre décider de lui interdire toute possession d’un animal de compagnie.
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