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En Italie, il tue sa petite amie médecin parce qu’«elle m’a transmis le coronavirus»

Crédit photo : Paris Match


En Italie, un infirmier étudiant en médecine a tué sa petite amie.

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Après son arrestation, il a accusé la jeune femme de lui avoir transmis le coronavirus.

 

 

Il tue sa petite amie médecin parce qu’«elle m’a transmis le coronavirus»

 

Ce féminicide choque toute l’

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fr/coronavirus-litalie-a-annonce-pres-de-1000-morts-dans-les-dernieres-24-heures/">Italie

et le monde.point 99 | Antonio De Pace, 28 ans, a été arrêté pour le meurtre de sa petite amie en Sicile.point 169 | C’est le suspect lui-même qui a prévenu les secours le jour du meurtre.point 236 |

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Il a tenté de se suicider en s’ouvrant les veines.point 48 | C’est au téléphone qu’il a expliqué avoir tué sa compagne, Lorena Quartana, médecin.point 137 | La Sicilia rapporte que durant son interrogatoire, l’étudiant en médecine a avoué avoir étranglé sa compagne parce qu’elle lui a « transmis le coronavirus ».point 293 | 1

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Néanmoins, après avoir effectué des tests sur le suspect et la victime, ils se sont tous deux révélés négatifs.

 

Lorena Quartana était étudiante en médecine et travaillait à l’hôpital. Les jours précédents le crime, la jeune femme avait partagé des photos sur les réseaux sociaux, partageant son inquiétude suite aux décès de nombreux soignants dans le monde.

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Elle écrivait :  «Maintenant plus que jamais, nous devons nous montrer responsables et afficher notre amour pour la vie. Vous devez vous respecter vous-même mais aussi vos familles et le pays. Vous devez réfléchir et vous souvenir de ceux qui dédient leur vie à prendre soin des malades. Restons à la maison. Évitons que la prochaine personne qui tombe malade soit l’un de nos proches, ou nous-mêmes ».

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« Un énième féminicide »

 

Le maire de Furci Siculo, lieu du drame, a réagi à ce féminicide : «Ce matin, nous nous sommes réveillés avec la nouvelle de cette tragédie. Nous sommes choqués, notre communauté a toujours été à la pointe de la lutte contre les violences de genre, nous avons également mis en place un centre d’écoute. Ceux qui se tachent avec de tels gestes doivent pourrir en prison ».

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Valeria Valente, présidente de la commission Féminicide du Sénat a elle dénoncé «un énième féminicide survenu dans un foyer, où la crise du coronavirus nous impose de rester ».

 

 

 

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