Donald Trump sera le premier président américain à participer à « la marche anti-avortement » alors qu’il a annoncé sa présence sur Twitter…
Il doit parler du mouvement pro-vie afin d’obtenir les voies des électeurs religieux pour les élections de novembre.
Il aura besoin de cette base de vote alors qu’il combat contre des accusations qui risque d’influencer sa réélection.
Il s’exprimera à quelques pâtés de maisons du Capitole américain, où des accusations d’abus de pouvoir et d’entrave au Congrès sont retenues contre lui.
Le président a posté sur Twitter son discours alors qu’il revenait du Forum économique mondial de Davos, en Suisse.
Le président avait envoyé un message vidéo enregistré à « la marche anti-avortement » de l’année dernière mais il sera là en personne cette année. C’est le vice-président Mike Pence qui avait prononcé un discours en direct l’année dernière.
La présidente de « la marche anti-avortement », Jeanne Mancini, a déclaré dans sa déclaration qu’ils honoraient et louaient profondément Trump et son administration en tant que «champions constants de la vie».
Source: Getty Images
Elle a également exprimé son enthousiasme, car il sera le premier président à assister et à s’adresser à cet événement.
Elle aimerait que le président voit à quel point ils sont passionnés par la protection de la vie et des enfants à naître.
La participation de Trump a été annoncée lors du 47e anniversaire de la loi « Roe vs Wade », l’affaire de la Cour suprême qui a déclenché la légalisation de l’avortement aux États-Unis.
Le mouvement pro-vie avait des doutes sur Trump au début de sa candidature présidentielle, mais il est maintenant accepté.
Le président a obtenu l’approbation du groupe en nommant des juges conservateurs qui avaient restreint les droits à l’avortement dans le passé.
Il a également rencontré des chefs religieux qui soutiennent le mouvement pro-vie.
Trump a montré son soutien l’an dernier à un adolescent qui avait poursuivi le Washington Post pour diffamation.
Nick Sandmann, qui avait 16 ans à l’époque, portait une casquette rouge «Make America Great Again» et aurait harcelé et poussé un activiste amérindien pendant la marche.
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