L’ancienne actrice
Brigitte Bardot, militante pour la défense des droits des animaux, sort de ses gonds et «engueule» le président de la République dans une lettre publiée sur Twitter.
Brigitte Bardot critique la politique du président de la République
La militante de la cause animale, Brigitte Bardot, vient de publier une lettre sur son compte Twitter qu’elle adresse au président Emmanuel Macron. Une lettre polémique ou elle dénonce la politique du gouvernement qui ne fait rien pour la défense des animaux.
— BRIGITTE BARDOT (@brigitte_bardot) January 20, 2020
La fondatrice et présidente de la Fondation Brigitte Bardot s’était entretenue avec le président de la République en juillet 2018 et avait énoncé quatre points essentiels dans sa lutte contre la cruauté animale.point 263 |
Elle souhaitait notamment qu’Emmanuel Macron mette un terme aux égorgements effectués dans le cadre de sacrifices rituels, interdise la consommation de la viande de cheval, interdise le broyage des poussins vivants ainsi que l’élevage de poules pondeuses en cage.point 354 | 1
Brigitte Bardot «engueule» le président de la République
Brigitte Bardot pousse un coup de gueule contre Emmanuel Macron et le rappelle à l’ordre concernant ses devoirs envers l’amélioration de la condition animale.point 206 |
L’ancienne actrice et militante de la cause animale a déclaré dans sa lettre ouverte au président : «Monsieur le Président, je vous engueule !».point 129 | «Vous deviez donner réponse en décembre 2018, j’attends toujours, malgré mes nombreuses lettres de rappel».point 229 |
Puis elle ajoute que le président «n’a aucune empathie, aucune compassion, aucune sensibilité, aucune humanité» avant de l’associer aux chasseurs.point 136 | Elle affirme aussi très en colère : «depuis votre élection, tout n’est que sang et violence !»point 221 | 1
Brigitte Bardot conclut sa lettre en disant «la France est devenue terre de toutes les cruautés, elle stagne et régresse». Elle demande au président de passer enfin aux actes et qu’il y en a marre «des bla bla bla, des débats stériles».
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