Selon Brigitte Bardot, l’épidémie de Covid-19 serait une simple autorégulation de la démographie.

Pour la comédienne, l’homme ne fait que récolter ce qu’il a semé en maltraitant la planète.

 

Brigitte Bardot se confie sur la crise environnementale

 

Pour la réédition de son autobiographie « Initiales B.B. » parue chez Grasset en 1996, Brigitte Bardot a accordé une interview au magazine Paris Match. La comédienne de 86 ans donne son opinion sur des sujets d’actualité comme la crise environnementale ou encore l’épidémie de coronavirus.

« Je ne suis pas Bécassine, au fond de mon trou ! », lance l’actrice du film « Et Dieu… créa la femme« , interviewée depuis La Madrague, sa résidence située près de Saint-Tropez. « Je lis beaucoup de livre, je regarde la télévision, je parle à mes amis, je reste à l’écoute et j’observe ce monde devenir un cirque », déclare-t-elle.

« C’est abominable, la manière dont on traite notre planète. Elle étouffe, impose sous le poids démographique incontrôlable dont découlent tous les malheurs qui nous arrivent : réchauffement climatique, inondation, feux… Et ce n’est pas fini », ajoute-t-elle.

 

Brigitte Bardot donne son avis sur le coronavirus

 

« Je crains que le coronavirus et d’autres épidémies qui déjà s’annoncent ne remettent douloureusement les pendules à l’heure », déclare l’interprète du célèbre titre « Harley-Davidson« . « Quand les cinq milliards d’êtres humains en trop sur cette terre auront disparu, la nature reprendra ses droits. »

Lorsqu’on lui demande si la pandémie du Covid-19 est « une bonne chose » pour la planète, Brigitte Bardot répond : « Oui, c’est une sorte d’autorégulation de cette démographie que nous sommes incapables de contrôler ». « L’être humain n’ayant pas d’autre prédateur que lui-même, seules les forces naturelles peuvent le contraindre à la raison. », ajoute la comédienne de 86 ans.

Alors comment se protège cette fervente protectrice des animaux face à l’épidémie? « Ce ne sont pas mon cheval, mon cochon ou ma chèvre qui vont me le refiler », soupire-t-elle. « Je n’ai pas besoin de faire attention puisque je ne vois personne », indique-t-elle.

 

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