Le ministre de la Santé est fortement sollicité pendant cette crise sanitaire.
Son emploi du temps chargé et le confinement ne lui permettent pas de voir enfants aussi souvent qu’il le souhaiterait, a rapporté Le Figaro.
Le ministre de la santé ne quitte pas son bureau
Depuis le début de l’épidémie de coronavirus, Olivier Véran est sur le devant de la scène et doit s’assurer de prendre les bonnes mesures afin d’endiguer la propagation du virus et de protéger la population.
Le ministre de la Santé est surchargé de travail et passe très peu de temps avec ses proches. Le journal Le Figaro a même révélé qu’il n’avait pas quitté son bureau pendant dix jours d’affilés.
Le ministre souhaiterait avoir « du temps » et même « un clone » pour l’aider dans son travail afin de pouvoir profiter de ses deux enfants, a rapporté le journal.
Olivier Véran a une fille âgée de 10 ans et un fils âgé de 7 ans, issu d’une première union.
Au printemps dernier, le compagnon de la députée de l’Hérault Coralie Dubost avait déjà été séparé de ses enfants pendant plusieurs semaines, car ceux-ci étaient confinés avec leur mère à Grenoble.
Le 15 mars dernier, après les élections municipales, le ministre « travaillait reclus dans son ministère ».Le magazine Paris Match révélait qu’Olivier Véran avait « dit au revoir [à ses enfants] le dimanche du premier tour des municipales alors qu’il était rentré pour voter à Grenoble.
Le lendemain, il les appelait pour leur dire qu’il ne ‘redescendrait’ pas avant quelques temps ».
Le ministre de la santé séparé de ses enfants
Cette gestion de la crise sanitaire est loin d’être facile pour le ministre de la santé.
De plus, le confinement l’oblige à être séparé de ses enfants. D’ailleurs à leur évocation, Olivier Véran a du mal à cacher ses émotions.Lors du premier confinement, au printemps dernier, le successeur d’Agnès Buzyn avait déclaré dans l’émission Quotidien sur TMC : « Je ne dis pas que c’est génial de rester confiné, personne ne dira ça.
Personne, et moi le premier, mes enfants sont dans une autre ville que celle dans laquelle je suis, donc c’est évidemment une situation qui est difficile à vivre pour tout le monde.
»
À lire aussi :
Le confinement pourrait ne pas être levé à Noël