Alors que la Première Dame était invitée sur
RTL elle en a profité pour s’exprimer sur sa relation avec le chef de l’état mais aussi de son point de vue sur la situation dans laquelle se trouve la France en ce moment…
Brigitte Macron a parlé de son époux
Alors que l’on voit Brigitte Macron dans tous les médias en ce moment pour parler de « L’opération Pièces Jaunes », qui se clôturera le 15 février, la présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France a profité de son passage sur RTL pour répondre à quelques questions à propos d’Emmanuel Macron mais aussi de sa vision sur la situation de la France qui a connu de nombreuses manifestations, grèves, mobilisation des gilets jaunes…
Je vois ce qui leur tombe dessus, je vois la somme de travail.
Je vois les dossiers. Il ne laisse rien de côté, il écoute beaucoup. Il n’a pas de visiteurs du soir, mais il écoute des gens très différents. Ça on ne le dit pas. J’entends toujours qu’il est seul.Non il n’est pas seul, il parle beaucoup, il écoute beaucoup, mais pas à une seule personne.
Il est extrêmement ouvert. A un moment donné, il prend une décision parce que c’est une décision en conscience. C’est un sujet dont il pense avoir extrêmement analysé les contours.Il ne fait jamais rien à l’emporte-pièce« .
La situation de la France vue par Brigitte Macron
Au delà de ça, je leur réponds que le bonheur est là où je suis.
Quand je vois ce qu’on a en France, même si il y a beaucoup de choses qu’on n’a pas, on a quand même un système qui prend l’autre en considération, si il a des problèmes de santé ou dans sa vie, on est là un peu pour l’aider.Il y a trop d’endroits où ce n’est pas le cas ».
Il y a beaucoup de choses qui ne vont pas, je me rends compte aussi de la difficulté de beaucoup de gens à boucler les fins de mois, c’est certain.
Mais je veux dire que si on marche tous ensemble, et si on reste dans ce que nous sommes, dans ce qu’est notre culture, dans ce qui fait notre essence, on peut s’en sortir ensemble.On ne peut pas s’en sortir si on part en ordre dispersé, on a besoin de tout le monde ».
À lire aussi :