Amber Luke, 24 ans, a fait son premier tatouage alors qu’elle n’avait que 16 ans.
Elle a dit que son premier tatouage a été inspiré par sa bataille contre la dépression. Le tatouage disait: « Vous pouvez continuer à frapper, mais ne me renversez pas, pas d’amour perdu, pas d’amour trouvé. »
La femme, vivant en Nouvelle-Galles du Sud (Australie), a dépensé 50.000 euros pour modifier son corps avec des tatouages et de la chirurgie esthétique.
Elle a déclaré à Daily Mail Australia: « C’était très lié à ma vie à un moment précis alors que je luttais pour ma santé mentale. »
« J’ai été étiqueté comme quelqu’un qui cherchait de l’attention dès mon plus jeune âge alors que je luttais simplement pour vivre une vie normale. »
On lui a diagnostiqué une grave dépression clinique l’année où elle a eu son premier tatouage. Quand elle a eu 23 ans, elle a reçu un nouveau diagnostic de trouble de la personnalité avec des traits schizophréniques, ainsi qu’une dépression clinique sévère.
« C’était vraiment difficile pour moi d’entendre, que je n’étais pas « normal ». Cela m’a vraiment dérangé de penser que je n’avais pas les bons produits chimiques dans mon cerveau. J’ai même fait une tentative de suicide en me pendant il y a trois ans dans un parc abandonné. »
« La deuxième fois, j’ai heurté ma voiture intentionnellement dans un arbre à 100 km/h. J’aurais aimé savoir à l’époque que je valais bien plus que ma maladie mentale car cela ne me définit pas. »
Pendant son adolescence, elle a même été anorexique. Ensuite, Amber a été informée qu’elle devait gagner cinq kilogrammes pour sa prochaine opération brésilienne de lifting des fesses.
Elle a dit: « J’ai pleuré de savoir qu’il fallait que je prenne du poids mais j’ai dépassé mes démons et j’ai depuis pris huit kilos. »
»Votre esprit vous gouvernera si vous ne le dominer pas. Votre corps est votre temple et vous n’en avez qu’un, alors traitez-le avec respect. C’est votre seule vraie maison. Je veux que les gens en difficulté sachent qu’il y a toujours de l’espoir. »
« Un jour, j’ai réalisé que je ne vivais pas seulement pour moi dans ce monde, je suis ici pour les autres aussi, la fille de quelqu’un, l’amant de quelqu’un », a-t-elle déclaré.
»Je suis bien plus que cette maladie. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez si vous y croyez. Même si vous êtes confronté à une certaine douleur, vous pouvez toujours vous en sortir ! »
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