On le sait tous, la vie n’est pas toujours rose.
Mais il faut garder espoir dans toutes les situations car chaque instant est précieux. Chaque échec est une leçon et chaque surprise une bénédiction et nous devons chérir les petites choses qui nous apportent du bonheur chaque jour.
Cette jeune femme sait comment apporter du bonheur aux gens, c’est certain.
Mary Macinnes a commencé à faire des ours en peluche à partir de vieux vêtements que ses proches lui donnaient afin qu’ils puissent garder leurs précieux souvenirs avec eux.
Certaines personnes se sont montrées intéressées par ses créations car elles souhaitent conserver leurs souvenirs d’enfance tandis que d’autres veulent garder des souvenirs de leurs proches qui sont décédés ou qui vivent loin d’eux.
Mary, passe 5 à 6 heures par jour à planifier, découper, créer et coudre chaque ours et ça vaut le coup !
Elle a commencé à seulement 21 ans et cela fait maintenant 6 ans qu’elle a créé son entreprise.
Elle a déclaré : « J’ai fait mon premier ours il y a cinq ans pour un ami et on n’arrêtait pas de me demander d’en faire plus, mais je refusais parce que je voulais me concentrer sur mes études.
Finalement, j’ai cédé aux demandes et une fois que j’ai téléchargé les photos de mes créations sur les réseaux sociaux, elles ont juste explosé. Alors pour le moment je suis pleinement déterminé à les exécuter. »
« Cela peut être épuisant émotionnellement certains jours », dit-elle.
« Récemment, j’ai eu un homme de 37 ans me suppliant de faire des ours pour ses deux filles âgées de 10 et 12 ans avant Noël. Il a insisté pour payer la totalité et m’a donné 12 euros supplémentaires en me demandant de les envoyer en urgence. »
« Il s’est avéré que l’une d’entre elle avait un cancer en phase terminale et qu’elle ne survivrait pas jusqu’à Noël. J’ai pleuré pendant toute la confection de ces petits ours. »
« J’adore voir leurs visages prendre forme. J’aime rencontrer mes clients lorsqu’ils viennent chercher leurs ours. 80% d’entre eux fondent en larmes quand ils les voient. »
« Je pense que c’est parce que les vêtements sont un rappel du passé et c’est presque comme si une nouvelle vie leur était insufflée. Ils deviennent quelque chose qu’on a envie de câliner et ils peuvent certainement aider le processus du deuil. »
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