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Catherine Laborde se confie sur la maladie de Parkinson qui la ronge.


Elle a présentée la météo durant 30 ans sur TF1.

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On l’invitait volontiers dans notre salon tous les soirs pour qu’elle nous dise quel temps il fera demain. On a l’impression de la connaître pas cœur, comme un membre de la famille. C’est ce qui a rendu d’autant plus poignant son témoignage pour Sept à Huit sur TF1 durant lequel elle s’est confiée sur la maladie de Parkinson qui la gagne.

Parkinson est une maladie dégénérative qui affecte petit à petit notre faculté à contrôler nos mouvements.point 419 |

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Catherine Laborde a appris en 2014 qu’elle en était atteinte.point 59 | 4 ans plus tard, elle a décidé de partager son combat dans un livre, Trembler.point 125 | Elle était également présente sur le plateau de l’émission de TF1 Sept à Huit pour en parler.point 213 |

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Elle est revenue sur sa découverte des premiers symptômes, sans pour autant les reconnaître comme tels à l’époque : « Pendant deux minutes, je ne savais plus où je me trouvais.point 161 | Plus aucun repère, estomaquée.point 190 | A l’époque, je travaillais beaucoup, ma vie était morcelée entre mes filles, mon amoureux et la télé.point 286 |

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Je pensais que j’en demandais trop à ma tête, je ne reliais pas la fatigue à une maladie »point 84 | 1

point 84 |
Crédits : TF1

Puis d’autres sont apparus, ceux-là mêmes qui l’affligent aujourd’hui : « Brutalement, j’ai des coups de fatigue, un sommeil qui survient de manière irrémédiable et terrible.point 377 |

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Quand j’écrivais mon livre, parfois, ma tête tombait sur l’ordinateur.point 75 | Ça ressemble à une lutte perdue d’avance« , confie-t-elle.point 136 | 1

« Du moment qu’il y avait la météo, il y avait la possibilité de tenir bien à distance la maladie parce que quand je faisais la météo, je n’étais pas malade même si au dernier moment, je ne me souvenais plus du mot nuage, j’improvisais autre chose » confie-t-elle dans une honnêteté touchante.point 399 |

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  « Le jour où j’ai arrêté, je me suis sentie un peu…, j’avais perdu une manche« .point 85 | Elle n’est pas partie le cœur lourd cependant : « Je pensais qu’il fallait passer la main.point 175 | En trente ans, les gens m’avaient paru de plus en plus jeunes dans les couloirs.point 247 |

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 »point 4 | 1

Loin d’avoir baissé les bras, elle se veut être aujourd’hui la porte parole de la maladie qui la ronge elle et tant d’autres : « Il faut qu’on nous voie. Même si les médecins sont très optimistes par rapport à la maladie, les patients se sentent complètement isolés »

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