Les incendies en Australie ont brûlé près de deux millions d’hectares rien qu’en Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland.
Beaucoup d’animaux sont forts mais d’autres, malheureusement, ne survivent pas.
Les incendies ont causé de nombreux dommages aux maisons situées dans les banlieues extérieures des villes et d’épais nuages de fumée ont recouvert les centres urbains. Au total, 28 personnes à travers l’Australie sont décédées pendant cette période d’incendie, y compris plusieurs pompiers volontaires.
Récemment, l’acteur Russell Crowe a partagé sur Twitter des images montrant l’effet transformateur que les récentes précipitations ont eu sur les terres dévastées.
Il a écrit: « Chez moi il y a 10 semaines après l’incendie, et chez moi ce matin après un gros week-end de pluie. »
Russell a remarqué un changement radical lorsqu’il est retourné chez lui en Australie. Son terrain a été ravagée par des flammes ardentes il y a 10 semaines mais les récentes précipitations ont permis au sol et aux arbres de redevenir verts.
Après avoir vu les photos de Russell, les utilisateurs des réseaux sociaux ont commencé à raconter comment leurs propres terres sont revenues à la vie après la pluie.
Un utilisateur a partagé la photo de chez lui en écrivant: » Notre terrain d’à côté … revenant lentement … malheureusement … les maisons ne repoussent pas! »
Un autre a écrit à côté de la photo de leur terrain: « Toutes les directions se ressemblent chez moi @russellcrowe. J’aimerais être aussi chanceux que toi. Tu veux acheter ma propriété? Parce que je ne pense pas que quelqu’un d’autre le fera. »
L’Australie est encore sous les flammes et cette saison a été bien pire que la normale. La catastrophe la plus meurtrière d’Australie a été le «samedi noir» en février 2009, lorsque 180 personnes sont mortes à Victoria.
Selon les scientifiques, les incendies en Australie sont une indication de l’avenir de la planète.
« C’est ce à quoi vous pouvez vous attendre … à une moyenne de 3C au-dessus des normales », a déclaré Richard Betts, professeur de géographie à l’Université d’Exeter. « Nous voyons un signe de ce qui serait des conditions normales dans un monde avec trois degrés de plus. Il nous dit à quoi pourrait ressembler le monde futur. Cela fait vraiment comprendre ce que signifie le changement climatique. »
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