X
    Categories: ActusChoquant

À Londres, Scotland Yard mène l’enquête sur des cas de renards tués à l’arbalète

Crédit Photo: Google


Que se passe-t-il à Londres ? Pourquoi des renards, qui pullulent dans la capitale sont sauvagement assassinés ?

ADVERTISEMENT

À Londres, Scotland Yard mène l’enquête sur des cas de renards tués à l’arbalète

Depuis plusieurs jours, des renards ont été retrouvés morts dans la capitale anglaise et il semblerait qu’ils ont été tués par une arbalète.

ADVERTISEMENT

C’est Scotland Yard qui est en charge de l’enquête tandis qu’une association de protection des animaux a promis une récompense de 2000£ (environ 2.200 euros) à quiconque aurait des informations permettant de faire condamner le coupable.

ADVERTISEMENT

De son côté, la brigade spécialisée en charge des atteintes à la vie sauvage de Londres a lancé ce lundi un appel à témoins après avoir découvert que trois renards avaient été victimes de tirs dans le quartier de Greenwich.

 

ADVERTISEMENT

En effet, l’un d’eux a été retrouvé avec une flèche dans le dos et malgré l’intervention d’une association qui a tenté de le sauver, le pauvre animal est décédé. Dans le même quartier un autre animal a été découvert mort tandis qu’un troisième renard a aussi été retrouvé sans vie avec une flèche qui le transperçait…

ADVERTISEMENT

Des crimes choquants pour les Londoniens…

Les renards font partie du paysage de Londres et les habitants ont toujours cohabité avec eux.point 191 | Pour une membre de l’unité spécialisée de la police de Londres: « Il est absolument choquant que deux animaux soient morts dans de si horribles circonstances.point 336 |

ADVERTISEMENT

Il est évident que celui qui a fait ça l’a fait délibérément et s’est inquiétant de concevoir que quelqu’un veuille blesser et tuer un animal sauvage« .point 153 | 1

L’association « Fox Project » espère que la prime de 2.200 euros permettra de retrouver le ou les coupable(s) afin de les faire condamner…

ADVERTISEMENT

À lire aussi :

Brexit : Plus de 7 500 emplois et 1.300 milliards d’euros auraient déjà quitté Londres