De nouvelles études révèlent que les femmes peuvent avoir des signes précoces de cancer de l’ovaire sans même le savoir.
Selon une étude réalisée par The Target Ovarian Cancer, il a été constaté qu’au lieu de consulter un médecin après avoir ressenti des symptômes tels qu’une plénitude et des ballonnements, la plupart des femmes choisissent simplement de modifier leur régime alimentaire.
Faire des changements diététiques sans connaître la cause sous-jacente peut aggraver le problème, surtout lorsqu’un traitement rapide est nécessaire. Par exemple, retirer le gluten de leur régime alimentaire ou passer à des yaourts probiotiques peut mettre les femmes en danger. C’est parce que les ballonnements persistants sont l’un des premiers signes du cancer de l’ovaire.
Les symptômes du cancer de l’ovaire comprennent un estomac gonflé, une sensation persistante de plénitude, des douleurs à l’estomac et des mictions fréquentes.
L’étude a révélé que 50% des femmes ayant remarqué ces symptômes ont décidé de modifier leur régime alimentaire et d’essayer l’automédication.
Elles consomment souvent des boissons telles que le thé à la menthe poivrée ou éliminent certains aliments tels que les produits laitiers et le gluten.
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Seulement 34% des femmes ont déclaré qu’elles consulteraient leur médecin pour des ballonnements persistants. En outre, les femmes de plus de 55 ans ont un risque plus élevé de développer un cancer de l’ovaire. Mais l’étude a montré qu’elles étaient plus susceptibles de vérifier leurs symptômes en ligne plutôt que de consulter un médecin.
Après avoir publié les résultats en ligne, une femme a raconté l’histoire de sa mère, qui pensait que ses symptômes du cancer de l’ovaire étaient des infections des voies urinaires ou le syndrome du côlon irritable.
L’étude publiée en ligne vise à sensibiliser le public au cancer de l’ovaire. Selon l’American Cancer Society, le cancer de l’ovaire est la cinquième cause de décès chez les femmes. C’est le sixième cancer commun chez les femmes britanniques.
Les taux de survie sont faibles, car les trois quarts des femmes ne sont diagnostiquées que lorsque le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps.
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C’est parce que ses symptômes sont souvent confondus avec le syndrome du côlon irritable et les ballonnements.
Des études antérieures ont également révélé que seulement 1 femme sur 5 peut identifier les ballonnements persistants comme un signe de cancer de l’ovaire, ce que les professionnels de la santé ont décrit comme alarmant .
Reader’s Digest
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